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- at HandleExceptions->handleError('8', 'Undefined offset: 46', '/home/tcgfmqc/lrvl/app/Http/Controllers/BlogueController.php', '47', array('id' => '46', 'articleID' => '46', 'arrayArticles' => array(object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles), object(BlogueArticles)), 'masterArray' => array(array('titre' => 'L’ADS+: une approche incontournable pour une meilleure inclusion', 'intro' => '<p>Embarquez pour un tour d’horizon des multiples facettes de l’ADS+ en Montérégie en 2021-23, incluant les opportunités d’apprentissages ainsi que le changement de mentalités et de pratiques sur le terrain.</p>
', 'sous_titre' => 'L'ADS+: une approche gagnante pour l’inclusivité, quand les ressources sont au rendez-vous!', 'contenu' => '<p>Ce rapport combine les résultats de l'initiative en ADS+ menée par la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) de septembre 2021 à 2023, visant à promouvoir l'égalité femmes-hommes en Montérégie, ainsi qu’une analyse de l'application de l’ADS+ dans 22 projets financés par l’Alliance pour la solidarité Montérégie. Il présente les ressources mobilisées, les actions entreprises pour promouvoir l'ADS+ en Montérégie, et offre un aperçu de son intégration à ces projets, incluant les défis rencontrés et les réussites déployées, plus particulièrement dans la région de l'agglomération de Longueuil et en Montérégie-Est. Enfin, le rapport se termine par des recommandations.</p>
<p><strong>Titre du rapport</strong>: L'ADS+: une approche gagnante pour l’inclusivité, quand les ressources sont au rendez-vous!</p>
<p><strong>Nombre de page</strong>: 31</p>
<p><strong>Date de publication</strong>: Août 2023</p>
<p><strong><a href="https://drive.google.com/file/d/1s0sOZbiWRBGEl8ll_Fqw4GFhmM7NshHB/view?usp=sharing">Lien vers la copie du rapport</a></strong></p>
<p>Pour en connaître davantage sur l’ADS+, vous pouvez consulter les outils développés par la TCGFM.sur son <a href="https://www.adsplus.tcgfm.qc.ca/">Microsite</a> (www.adsplus.tcgfm.qc.ca)</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jan', 'jour' => '10', 'annee' => '2024', 'date' => '10 Janvier 2024', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'Cover_Rapport ADSplus-2.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'L’AGA de la TCGFM : la cohésion de notre regroupement est notre force et notre pouvoir d’agir!', 'intro' => '<p>Saint-Lambert, le 8 juin 2023 – Le 7 juin dernier, dans une ambiance de camaraderie et de solidarité, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie a tenu son assemblée générale annuelle. Des groupes membres provenant de l’ensemble de la région ont assisté à l'événement qui a eu lieu à St-Lambert (merci à l'église St-Barnabas pour le prêt de la salle Memorial). Au cours de la réunion, les membres ont eu l'occasion de revoir et de réfléchir sur les activités de la dernière année et le budget de fonctionnement de la TCGFM (qui à son tour a été officiellement adopté). Par la suite, les déléguées ont été présentées et invitées à commenter le plan d'action 2023-2024 et les prévisions budgétaires pour l'année 2023-2024.</p>
', 'sous_titre' => 'Conseil d'administration 2023-2024', 'contenu' => '<p>Finalement, suite aux élections des administratrices, la TCGFM est fière de vous présenter son nouveau conseil d’administration : </p>
<p>Martine Faille, présidente - D'Main de Femmes<br />
Nancy Patry, vice-présidente – Maison Hina<br />
Christine Letendre, trésorière – Centre de femmes de Longueuil<br />
Frédérique Larouche, secrétaire – Centre de femmes l'Essentielle<br />
Gabrielle Juneau, administratrice – Quartier des femmes</p>
<p> <br />
La TCGFM remercie chaleureusement les administratrices sortantes pour leur contribution au développement de la TCGFM au cours de leur mandat, soit, Julie Landry (Accueil pour Elle) et plus particulièrement Carolle Mathieu (Centre de femmes du Haut-Richelieu) qui a agi à titre de présidente au cours des 5 dernières années.</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '08', 'annee' => '2023', 'date' => '08 Juin 2023', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'AGA 2023 (2).jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Journée internationale des droits des femmes', 'intro' => '<p>" Résistances féministes ", slogan du 8 mars 2023.</p>
<p>Découvrir la multiplicité des activités féministes de nos groupes membres lors des actions du 8 mars en Montérégie!</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>8 mars 2023 en Montérégie</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Mar', 'jour' => '03', 'annee' => '2023', 'date' => '03 Mars 2023', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'Affiche 8 mars 2023.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Crise du logement : Monsieur Legault, pourquoi les femmes écopent davantage ?', 'intro' => '<p style="text-align:justify">SAINT-LAMBERT, le 17 octobre 2022 - Il y a un peu plus de 4 ans, à la veille des élections provinciales de 2018, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) sonnait déjà l’alarme quant à la précarité résidentielle vécue par les femmes. Sa revendication d’ « améliorer l’accès à des logements sociaux, permanents, abordables, salubres et sécuritaires, surtout des logements avec soutien communautaire répondant aux normes d’accessibilité universelle, notamment en investissant dans la construction de 50 000 nouveaux logements sociaux » urgeait le prochain gouvernement d’agir.<br />
Monsieur Legault, alors que votre mandat se renouvelle, les groupes de femmes de la Montérégie veulent vous faire entendre leur cri du coeur. Leur constat est sans équivoque : la situation ne s'est pas seulement aggravée, elle est dramatique! Partout dans la région, tant dans les zones urbaines qu’en périphérie, les travailleuses qui forment la première ligne d’intervention rencontrent quotidiennement des femmes qui n’arrivent plus à se loger. Les augmentations aberrantes du marché locatif privé, la quantité insuffisante de logements sociaux - pour lesquels on peut voir jusqu’à sept ans d’attente - et les ressources d’hébergement qui débordent mettent les femmes en danger. « On est plus capables de référer ailleurs, tout est plein! Puis quand ce n’est pas plein, ce n’est pas adapté. Les services d’hébergement d’urgence mixte ne réservent pas de place pour les femmes. On a devant nous des femmes vulnérables, parfois à une nuit d’être dans la rue, et on a pas d’endroit sécuritaire pour elles », partage une intervenante de Longueuil.</p>
', 'sous_titre' => 'Un choix qui n’en est pas un', 'contenu' => '<p style="text-align:justify">La crise du logement ne touche pas uniquement la sphère de l’hébergement, mais a un effet en cascade sur tous les autres éléments de la vie des femmes, pour qui l’emprise se fait de plus en plus faible. Une intervenante de Salaberry-de-Valleyfield partage que « des femmes qui font des demandes d’aide alimentaire pour la première fois de leur vie, c’est devenu fréquent. Elles<br />
travaillent à temps plein, elles ont de bonnes jobs, mais ça ne suffit plus. Dernièrement, une femme nous a confié qu’elle avait commencé à prendre sa médication un jour sur deux pour pouvoir sauver des sous et arriver à payer son loyer, ça n’a aucun sens! Les femmes se retrouvent à faire des choix qui ne devraient pas en être ». Le portrait est similaire à Beloeil, confie<br />
une intervenante : « Ce n'est plus juste les femmes au salaire minimum qui n'arrivent plus à payer leur logement, on voit toutes sortes de professions. Et quand elles payent leur logement, elles n'ont plus d'argent pour manger, mais se font refuser l'accès aux banques alimentaires ».L’absence de logements abordables est également lourde de conséquences pour les femmes<br />
vivant en situation de violence, expliquent des travailleuses de ressources d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale. « Avec le prix des loyers actuels, c’est<br />
pratiquement impossible de payer un appartement toute seule. Même si elles savent qu’elles sont en danger dans leur relation, on voit plusieurs femmes qui ne quittent pas leur conjoint violent<br />
parce qu’elles craignent, avec raison, de se retrouver à la rue ». De plus, « il y a aussi l’enjeu des enfants à considérer. Les femmes qui souhaitent avoir la garde de leurs enfants doivent prouver qu’elles sont en mesure d’avoir une chambre pour chaque enfant. Ça représente minimalement un 4 ½, mais elles ne peuvent pas payer pour ça et elles le savent alors elles restent en situation de violence pour ne pas perdre leurs enfants ». Si les femmes ne devraient pas avoir à choisir entre manger ou avoir un toit sur la tête, elles ne devraient pas non plus avoir à choisir entre la violence ou l’itinérance. Une course contre la montre, parsemée d’embûches Pour certaines femmes, la combinaison de réalités identitaires représente un frein supplémentaire à l’accès au logement. Soit parce qu’elles ne sont pas à l’aise d’utiliser les moteurs de recherche, soit parce qu’elles n’ont pas accès à internet, pour plusieurs femmes âgées le marché locatif en ligne (Kijiji, Marketplace, etc.) n’est pas accessible. En plus de la fracture numérique, pour les femmes seules, le rapport de pouvoir avec les propriétaires les expose à de plus grands risques de violence. Pour celles issues de minorités visibles discriminées, la quantité de demandes permet entre autres aux propriétaires racistes de faire le tri. Une intervenante de Salaberry-de-Valleyfield relate: « J’ai accompagné une femme au centre qui avait trouvé un logement intéressant, un peu cher, mais elle allait pouvoir y arriver. Les échanges courriels se passaient<br />
très bien avec le propriétaire. Lorsqu’elle lui a téléphoné pour confirmer la visite, le logement était subitement loué. C’est difficile de penser que ça n’a rien à voir avec son accent hispanophone ».Des travailleuses à bout de souffle Devant cette crise résidentielle, les organismes sont submergés. Même lorsque leur mission n’a rien à voir avec le logement, l’enjeu reste central. Une travailleuse en aide à l’emploi partage: « On est un organisme en employabilité et on a commencé à faire du dépannage alimentaire. On a une entente avec Moisson Rive-Sud qui livre directement chez nous ». Le constat est le même pour plusieurs membres : « Je travaille dans un centre de femmes et je me retrouve à faire des accompagnements à la Régie du logement pour contester des augmentations de loyer. Ce n’est pas mon travail, mais je n’ai personne à qui les référer ».</p>
<p style="text-align:justify">Cette détresse vécue par les femmes n’est pas sans conséquences pour les professionnelles qui se sentent démunies face au manque de solutions. Les demandes sont plus larges, les besoins plus criants, mais les ressources ne sont pas plus nombreuses… au contraire. « Il n’y a pas une semaine qui passe sans qu’en réunion d’équipe, on entende le mot impuissance. C’est épuisant.», confie une intervenante de Longueuil. </p>
<p style="text-align:justify">Il est minuit moins une</p>
<p style="text-align:justify">Le gouvernement Legault a eu quatre ans pour améliorer l’accès à des logements sociaux, permanents, abordables, salubres et sécuritaires. Aujourd’hui, les groupes de femmes de la<br />
Montérégie constatent tristement que le portrait est déplorable et très clair : la crise du logement s’étend partout en Montérégie et a des conséquences dramatiques sur les femmes. Carolle<br />
Mathieu, directrice du Centre de femmes du Haut-Richelieu et présidente du conseil d'administration de la TCGFM est sans équivoque: « il faut arrêter de penser que la crise du<br />
logement touche tout le monde de la même façon. Pour les femmes, ça représente une vulnérabilité impensable. La crise du logement a un genre et il faut le reconnaître, c’est de la vie<br />
des femmes dont il est question ».<br />
Il y a quatre ans, on sonnait l’alarme. Aujourd’hui, on tente de donner une voix aux réalités invisibles des femmes parce qu’on n’en parle pas assez, ni dans les campagnes électorales, ni en début de mandat et surtout pas quand on est au coeur de la crise. Monsieur Legault, les membres de la TCGFM ont une question essentielle pour vous, pourquoi les femmes doiventelles<br />
encore payer le prix ?</p>
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<div>
<p> </p>
<p><strong>Féministes Solidaires de la TCGFM </strong></p>
<p>Hier, le 1er juin, la TCGFM tenait son assemblée générale annuelle. Plus de 20 groupes étaient présents pour faire le point sur les activités et les finances de l'année écoulée, ainsi que pour se statuer sur les actions et activités à réaliser en 2022-2023. Durant la rencontre, les déléguées de groupes membres ont élu un nouveau conseil d’administration et ont remercié les administratrices sortantes. L’évènement s’est clos avec la remise des casquettes « Féministes Solidaires de la TCGFM » aux participantes de l’assemblée. Pour les déléguées absentes, ne vous inquiétez pas, la TCGFM a réservé des casquettes pour vous.</p>
</div>
', 'sous_titre' => 'Conseil d'administration 2022-2023', 'contenu' => '<ul>
<li>Mélanie Brousseau, Centre de femmes l'Autonomie en soiE (secrétaire)</li>
<li>Martine Faille, D’Main de Femmes (trésorière)</li>
<li>Gabrielle Juneau, Quartier des Femmes (vice-président)</li>
<li>Julie Landry, Accueil pour Elle (administratrice)</li>
<li>Carolle Mathieu, Centre de femmes du Haut-Richelieu (présidente)</li>
</ul>
<p>Merci à Martine Laprade (Inform’Elle) & Marie-Christine Plante (Carrefour pour Elle) pour leurs implications depuis plusieurs années au conseil d’administration de la TCGFM.</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '02', 'annee' => '2022', 'date' => '02 Juin 2022', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'AGA 1 juin 2022.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'LE DROIT DES FEMMES À LA SANTÉ EST EN JEU', 'intro' => '<p>Linda Crevier, Présidente du Réseau des tables régionales de groupes de femmes du Québec, signe cette lettre ouverte pour demander au gouvernement de reconnaître les obstacles au droit à la santé des femmes et d’agir dès maintenant de manière structurante pour les éliminer.</p>
', 'sous_titre' => 'L’auteure s’adresse au premier ministre François Legault', 'contenu' => '<h1><span style="font-size:12px">La pandémie, et particulièrement le variant Omicron, a poussé à son extrême un système de santé que l’on savait fragile depuis des années. Face à un réseau fissuré de toute part, un examen en profondeur s’impose.</span></h1>
<p><span style="font-size:12px">Force est de constater qu’il faudra rebâtir notre système différemment. Pour ce faire, les obstacles à l’accessibilité des services sociaux et de santé, qui sont longtemps restés dans l’angle mort et qui touchent particulièrement les femmes, devront être pris au sérieux par le gouvernement de François Legault.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Services centralisés, privatisés, tarifés, femmes larguées par la complexité du réseau et surtout confrontées aux violences commises par les institutions de la santé. L’ensemble des 17 Tables régionales de groupes de femmes et le Réseau des Tables régionales de groupes de femmes du Québec prennent aujourd’hui le crayon pour alerter le premier ministre à ces entraves au droit à la santé. Le gouvernement doit s’y attaquer pour que toutes les femmes aient rapidement un réel accès à des services sociaux et de santé publics, gratuits, universels et de qualité sur l’ensemble du territoire.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">DES SOUFFRANCES ALIMENTÉES PAR LES INSTITUTIONS</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Dans les 17 régions du Québec, les groupes de femmes nous rapportent des cas montrant que le réseau de la santé arrive difficilement à prendre en compte l’aspect multidimensionnel des femmes. Par exemple, au sein d’une ressource en santé mentale, une femme rapporte la violence vécue dans un contexte conjugal. Elle se fait blâmer et répondre que son trouble de santé pourrait être la cause de cette violence. Elle est réduite à une seule chose : son état mental. Il en est de même pour une femme confrontée à la grossophobie au sein du réseau. Ses enjeux de santé sont le plus souvent réduits à son poids. Une autre femme voit sa situation médicale banalisée en raison d’un préjugé quant à la plus grande tolérance des femmes noires à la douleur. Cela entraîne des délais dans son diagnostic.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Ces attitudes bien réelles causent des souffrances physiques et psychologiques aux femmes qui les subissent et affectent leur accès à des soins de qualité. L’an dernier, la mort de Joyce Echaquan a mis un visage sur cette forme de violence pernicieuse commise dans ou par une institution.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Cette violence institutionnelle met particulièrement en danger la santé et la vie des femmes autochtones, dont plusieurs vivent en situation de vulnérabilité sociale, et de nombreuses autres femmes vivant à la croisée des oppressions.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Les services inadaptés voire refusés à certaines femmes sont un autre exemple de cette violence qui engendre leur exclusion du système de santé et de services sociaux. Des femmes ne peuvent bénéficier de services, telle une mammographie, parce que les équipements ne sont pas adaptés à leur situation de handicap. D’autres se voient refuser l’accès à l’adoption ou à la reproduction assistée en raison de leur contexte de handicap. Par ailleurs, le virage numérique dans l’octroi de services ou la prise de rendez-vous crée une fracture d’accès pour les femmes aînées, celles avec un faible niveau de littératie ou encore celles habitant des territoires où la connexion internet est insuffisante.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Enfin, nous observons au sein du réseau une violence institutionnelle envers son personnel composé d’une majorité de femmes, et dans certaines régions de travailleuses sans papiers, réfugiées, immigrantes et racisées, aux prises avec des conditions de travail intenables. Le sous-financement historique des services publics a engendré un réseau dont le fonctionnement repose sur la surcharge, la sous-rémunération, la non-reconnaissance, voire l’exploitation de leur travail. Ces femmes en paient le prix par leur santé et leur appauvrissement.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">DES GAINS HISTORIQUES COMPROMIS</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Ces enjeux vécus par les femmes se tournant vers le système de santé et par celles qui y travaillent s’inscrivent dans un continuum de violences genrées. Les gains pour le droit à la santé et pour l’égalité des femmes qui ont découlé de la mise en place du réseau public de la santé et des services sociaux sont sérieusement compromis.</span></p>
<p><span style="font-size:12px">Il y a un an, à la sortie du Plan d’action en santé et bien-être des femmes, le gouvernement Legault déclarait que leur santé est au cœur de ses préoccupations. Aujourd’hui, nous lui demandons s’il reconnaît les obstacles évoqués et s’il est prêt à agir dès maintenant de manière structurante pour les éliminer. Il est essentiel que le Québec ait des services sociaux et de santé véritablement accessibles aux femmes qui en sont le plus éloignées. Le droit à la santé est en jeu.</span></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jan', 'jour' => '25', 'annee' => '2022', 'date' => '25 Janvier 2022', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'Image_Lettre ouverte_Jpeg.jpeg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'LA TCGFM VOUS SOUHAITE DE JOYEUSES FÊTES ', 'intro' => '<p>[NOS BUREAUX SERONT FERMÉS DU 17 DÉCEMBRE AU 4 JANVIER - DE RETOUR LE 5 JANVIER 2022]</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>L'équipe de la TCGFM vous souhaite un joyeux temps des fêtes et des vacances ressourçantes! <img alt="????" src="https://static.xx.fbcdn.net/images/emoji.php/v9/t15/1/16/1f49b.png" style="height:16px; width:16px" /></p>
<p>Alors que vous naviguerez la charge mentale de cette période de l'année, nous espérons que vous trouverez compréhension et soutien, car c'est cette lutte contre les inégalités de genre persistantes qui nourrie notre flamme, année après année. Que ce temps de l'année remplis de générosité et de partage puisse vous apporter les forces nécessaires pour démarrer 2022 avec confiance.</p>
<p>On se dit à l'an prochain!</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Déc', 'jour' => '17', 'annee' => '2021', 'date' => '17 Décembre 2021', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'Capturefetes.PNG', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'La Coordination du Québec de la Marche Mondiale des Femmes se mobilise pour toutes les femmes', 'intro' => '<p><strong>Montérégie, le 17 octobre 2021</strong> - En cette Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, la Coordination du Québec de la Marche Mondiale des Femmes (<a href="http://www.cqmmf.org/">CQMMF</a>) tient un point de presse à Tiohtià:ke/Montréal au Square Cabot. Le point de presse sera suivi à 13h d’une action commune nationale qui trouvera écho à travers toutes les régions du Québec à laquelle participera <strong>la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) et ses groupes membres.</strong></p>
<p>La CQMMF et la <a href="https://www.tcgfm.qc.ca/">TCGFM</a> célèbrent les 20 ans d’actions de la Marche Mondiale des Femmes (MMF) en poursuivant la lutte pour les droits des femmes. « Cela fait longtemps que la CQMMF revendique la reconnaissance de toutes les formes de violences faites aux femmes » mentionne Marie-France Benoît, militante de la Marche des femmes depuis sa fondation. « Le constat des ravages de la pandémie et des mesures sanitaires est d’ailleurs sans équivoque pour toutes les femmes, mais particulièrement pour celles vivant à la croisée d’oppressions. » soulève Marie-Andrée Gauthier, coordonnatrice générale du Réseau des Tables régionales de groupes de femmes du Québec (<a href="http://www.reseautablesfemmes.qc.ca/">RTRGFQ</a>) et porte-parole de la CQMMF, « le risque de se retrouver en situation de précarité a été exacerbé, sans compter la hausse des violences conjugales et la vague de féminicides qui secoue le Québec ».</p>
', 'sous_titre' => '« Les femmes et les filles des communautés autochtones sont particulièrement sujettes à être victime de violences et de discriminations » ', 'contenu' => '<p>La CQMMF met de l’avant plusieurs revendications visant à améliorer les conditions de vie des femmes – notamment une hausse substantielle du salaire minimum, une transition écologique porteuse de justice sociale et la mise en place de mesures inclusives tenant en compte la complexité du parcours des femmes migrantes, immigrantes et racisées - <strong>mais</strong> <strong>tient à mettre aujourd’hui l’accent sur les revendications concernant les femmes et les filles autochtones. « Les femmes et les filles des communautés autochtones sont particulièrement sujettes à être victime de violences et de discriminations » </strong><strong>déplore Viviane Michel, </strong><strong>présidente de l’association Femmes autochtones du Québec (</strong><a href="https://faq-qnw.org/"><strong>FAQ)</strong></a><strong> et porte-parole à la CQMMF « nous réclamons que la justice s</strong><strong><span dir="RTL">’</span></strong><strong>applique pour qu’elles obtiennent réparation et le respect de leurs droits </strong><strong>».</strong></p>
<p> </p>
<p>À propos de la CQMMF : La Coordination du Québec de la Marche Mondiale des Femmes (CQMMF) est un regroupement national féministe solidaire du mouvement de la Marche mondiale des femmes (MMF). La CQMMF contribue à éliminer les causes de la pauvreté et de la violence envers les femmes en portant des revendications sur plusieurs fronts pour promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes, entre les femmes elles-mêmes et entre les peuples.</p>
<p>À propos de la TCGFM : La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif. En misant sur l’expertise diversifiée de ses membres, la TCGFM oriente ses actions vers l’amélioration des conditions socioéconomiques, culturelles et politiques des femmes. Elle travaille dans une perspective de défense des droits et d’atteinte de l’égalité entre (toutes) les femmes et les hommes.</p>
<p>Pour plus d’information : Linda Crevier, Directrice générale, TCGFM : 514-562-2436 | <a href="mailto:dg@tcgfm.qc.ca">dg@tcgfm.qc.ca</a></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Oct', 'jour' => '17', 'annee' => '2021', 'date' => '17 Octobre 2021', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'MMF 2021-R16-bandeau-fb-Montérégie.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Événement de clôture de la 5e action de la Marche Mondiale des femmes ', 'intro' => '<p>ACTION NATIONALE<br />
Afin de souligner la clôture de la 5e action de la Marche mondiale des femmes, la CQMMF tiendra une conférence de presse le 17 octobre 2021 en matinée qui sera diffusée en direct sur Facebook. Ce sera l’occasion de revenir sur les cinq revendications de la coordination du Québec de la Marche mondiale des femmes (CQMMF), soit la pauvreté, les violences faites aux femmes, les enjeux concernant les femmes migrantes, immigrantes et racisées, la justice climatique et surtout, la revendication sur les femmes autochtones qui sera mise en lumière de façon particulière.</p>
', 'sous_titre' => 'Action Nationale', 'contenu' => '<p>ACTIONS RÉGIONALES<br />
En après-midi le 17 octobre, de multiples actions se déploieront partout au Québec en même temps, soit vers 13 h. Pour l’occasion, les participantes et participants à ces diverses activités seront notamment invitées à porter des vêtements de couleur rouge, en appui aux femmes autochtones. Surveillez les informations en provenance des groupes de femmes de la Montérégie.<br />
</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Sep', 'jour' => '28', 'annee' => '2021', 'date' => '28 Septembre 2021', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'MMF 2021.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => '« Arrêtez de justifier les féminicides par la souffrance des hommes ! » s’indignent les expertes en violence conjugale. ', 'intro' => '<p>Mardi matin, une douzaine de travailleuses des groupes de femmes de la Montérégie se rencontre pour aborder les féminicides. Le tour de table est rempli d’émotions : « Une autre femme a failli y passer. Elle a été violentée par son conjoint, tout près de nos bureaux… ». Elles affirment que les meurtres et les agressions subies par ces femmes sont le résultat désastreux de la violence conjugale, une prise de pouvoir des hommes sur les femmes. </p>
<p>Ces intervenantes ont choisi de consacrer leur quotidien à lutter contre les violences faites aux femmes. « On arrête jamais de penser aux femmes qu’on rencontre, on ne laisse pas ça [le travail] au bureau. ». Elles restent disponibles presque en tout temps pour répondre, le plus rapidement possible, aux femmes qui pourraient être en danger. « Malgré les femmes qu’on aide et qu’on permet de sécuriser, on vit beaucoup d’impuissance, il y en a plein qu’on ne pourra pas soutenir, tellement de femmes qu’on ne rencontrera jamais. La prévention et la formation sur la violence conjugale doivent se faire dans tous les milieux, mais nos cris du cœur ne sont pas toujours bien reçus. ».</p>
', 'sous_titre' => 'Selon elles, l’étiquette de « féministes enragées », c’est le prix à payer pour remettre en question les normes sociales et dénoncer les inégalités qui contribuent à perpétuer les violences faites aux femmes.', 'contenu' => '<p>Elles portent en elles les vécus de milliers de femmes. Ces femmes, elles ont des noms : Léa, 8 ans, ne peut pas manger une banane à l’école primaire sans recevoir des commentaires à caractère sexuel par les garçons ; Julianne, 16 ans, a dû faire appel à la police lorsqu’elle a mis fin à la relation avec son copain alors qu’il la harcelait et menaçait de s’en prendre à elle et sa famille ; le conjoint de Mylène refuse la séparation et affirme qu’il préfère aller en prison que de vivre sans elle et leurs enfants ; lorsque Lucille a laissé son conjoint, il a passé une semaine à dormir dans sa voiture devant chez elle avec une arme et une cagoule. Ces histoires et ces réalités ne sont pas isolées. Elles sont trop nombreuses et ont toutes un point en commun : la prise de pouvoir d’un homme sur une femme. </p>
<p> </p>
<p>Le Québec tout entier vient d’ajouter d’autres noms* à son histoire : </p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Elisapee, </strong>« tuée par son ex-conjoint violent deux semaines après qu’il eut été libéré sous caution. » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Marly</strong>, « tuée d’une balle à la tête […] deux jours après avoir alerté la police de menaces de mort à son égard. » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Nancy, </strong>poignardée à mort […] dans son logement, par son conjoint de qui « elle avait peur » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Sylvie et sa fille Myriam</strong>, « tuées sauvagement avec une hache par l’ex-conjoint de Myriam » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Carolyne, « </strong>battue à mort par son conjoint » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Nadège</strong>, « tuée à l’arme blanche par son conjoint » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Rebekah</strong>, morte « après avoir été battue par son conjoint » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Kataluk, « </strong>tuée par son conjoint » ;</p>
<p style="margin-left:40px"><strong>Dyann</strong>, « tuée par son ex-conjoint ». </p>
<p style="margin-left:40px"> </p>
<p>La vague médiatique actuelle reliant les féminicides à la détresse vécue par les hommes inquiète les expertes en violence conjugale : « […] lorsqu’on cherche à justifier ces meurtres [de femmes] par la souffrance des hommes, on est dans le champ ! On passe complètement à côté des causes réelles de la violence conjugale. ». <strong>De la souffrance, tous les êtres humains en vivent, mais tous ne tuent pas pour autant. La violence conjugale a une dynamique spécifique qui repose sur un rapport de contrôle exercé par un homme sur une femme. Ce contrôle, ils le justifient par la croyance que leur femme n’a pas le droit d’exister à l’extérieur de leur relation, qu’elle est leur possession. </strong></p>
<p style="margin-left:40px">« Tu vas me le payer » ;</p>
<p style="margin-left:40px">« Tu n’as pas le droit de me faire ça à moi » ;</p>
<p style="margin-left:40px">« Je ne te laisserai jamais me quitter » ;</p>
<p style="margin-left:40px">« Tu es à moi, tu m’appartiens » ;</p>
<p style="margin-left:40px">« Je préfère aller en prison plutôt que te laisser partir avec mes enfants » ;</p>
<p style="margin-left:40px">« Aucun homme ne t’aura à part moi ». </p>
<p>Tous les jours, ces phrases sont entendues par des femmes qui tentent de quitter leur conjoint. Ce qui est présenté comme le résultat de la souffrance vécue par les hommes est en réalité celui de relations inégales au sein desquelles les hommes refusent de perdre le pouvoir qu’ils ont sur leur conjointe ou ex-conjointe. En mettant de côté l’emprise d’un conjoint violent sur sa femme et en expliquant la violence conjugale par ses difficultés personnelles, on expose les femmes à des risques : « Je veux aller dans une petite ville où je vais pouvoir arrêter de boire, aider mes enfants et élever ma famille. Je vais commencer une nouvelle vie, je suis prêt à aller voir un travailleur social » (Le Devoir, 15 avril 2021). Ça, ce sont les paroles qui auront permis à l’ex-conjoint d’Elisapee d’obtenir, pour une 4e fois, sa libération conditionnelle après l’avoir attaqué avec une arme. Deux semaines plus tard, la mère de 4 enfants a été violemment assassinée par cet homme. </p>
<p> </p>
<p><strong>Ce n’est pas la détresse, la souffrance ni même la folie qui ont tué ces femmes. Ce sont des hommes, responsables de leurs actions, qui se sont permis la prise de pouvoir ultime que l’on peut avoir sur autrui : le meurtre. </strong></p>
<p>La prévention de la violence faite aux femmes, la valorisation des filles et des femmes, la lutte aux stéréotypes, l’amélioration de la condition féminine, la fin de la masculinité toxique et la responsabilisation des conjoints violents dans une approche féministe sont essentielles pour éliminer, une fois pour toutes, la violence conjugale et les féminicides.</p>
<p>*Les citations relatives aux féminicides citées proviennent d’articles de journaux.</p>
<p> </p>
<p><span style="font-size:16px"><em>- Les groupes membres de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM), Lundi 3 mai 2021, Montérégie</em></span></p>
<p> </p>
<p>Liste des membres : </p>
<p>Accueil pour Elle, Association des femmes diplômées des universités (AFDU) Montérégie, APTS CISSS Montérégie-Est, CALACS Châteauguay, CALACS La Vigie, Carrefour pour Elle, Centre de femmes Com'Femme, Centre D’Main des femmes, Centre de femmes Autonomie en soiE, Centre de femmes du Haut-Richelieu, Centre de femmes Entre Ailes, Centre de femmes La Moisson, Centre de femmes La Marg'Elle, Centre de femmes L’Éclaircie, Centre de femmes L’Essentielle, Centre des femmes de Longueuil, Centre d’Orientation et de Formation pour Femmes en Recherche d’Emploi (C0FFRE), La Clé sur la porte, Conseil central de la Montérégie-CSN, Hébergement La Passerelle, Inform'elle, Maison d’Aide et d’Hébergement la Re-Source, Maison de la Paix, volet La Chaumière, Maison d’hébergement L’Égide, Maison Hina Inc., Maison Simonne-Monet-Chartrand, Options sans limite/Place à l’emploi, Pavillon Marguerite-de-Champlain, Quartier des femmes, Résidence Elle du Haut‑Saint‑Laurent, Ressources-Femmes de la région d’Acton, Transit Secours</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Mai', 'jour' => '04', 'annee' => '2021', 'date' => '04 Mai 2021', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => null, 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Les groupes de femmes de la Montérégie insistent : ce sont les femmes qui portent le poids du monde sur leurs épaules et il faut que ça cesse!', 'intro' => '<p><strong>Montérégie, 19 avril 2021 — </strong>La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) lance aujourd’hui sa campagne « L’environnement, un enjeu collectif ! » visant à sensibiliser les décideurs et le grand public quant à l’urgence de mettre en place et de soutenir des initiatives en matière de justice climatique. Des actions concrètes sont nécessaires pour faire face à la crise environnementale et l’adoption de comportements écoresponsable doit concerner l’ensemble de la population. Depuis trop longtemps, les femmes portent le poids du monde sur leurs épaules ; il faut que ça change!</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Du 19 au 24 avril 2021, la TCGFM dévoilera quotidiennement, sur ses réseaux sociaux, une publication dénonçant la charge mentale associée à la justice climatique qui est vécue par les femmes. Les groupes de femmes demandent aux MRC et aux instances, municipales comme régionales, de partager ces publications et publier des communiqués de renfort. L’obtention d’une réelle justice climatique, telle que revendiquée par la Coalition québécoise de la Marche mondiale des femmes, passe par la mobilisation des instances décisionnelles. La TCGFM invite également les citoyennes et citoyens à diffuser la campagne dans leurs réseaux, particulièrement auprès des décideurs de leur secteur.</p>
<p> </p>
<p><strong>Le lien entre écologie et féminisme</strong></p>
<p>« <em>Les femmes sont encore majoritairement en charge de la gestion du ménage. Ce rôle a pour effet de les positionner comme instigatrices, voire responsables, de la mise en place et du maintien de comportements écoresponsables dans leur foyer. C’est une pression qui s’ajoute à toute la charge mentale qui leur incombe déjà.</em> », explique Linda Crevier, directrice générale de la TCGFM. « <em>Par ailleurs, les femmes sont davantage touchées par la dégradation de l’environnement, et ce, même en Montérégie. Les milieux défavorisés dans lesquels on retrouve énormément de femmes, notamment en raison de leur désavantage sur le plan économique, sont souvent accompagnés d’un environnement </em><em>moins favorable au développement de la biodiversité et au maintien d’une bonne qualité de vie. Autrement dit, les femmes déjà précarisées se retrouvent à souffrir davantage des conséquences liées aux changements climatiques</em>. », renchérit Mme Crevier.</p>
<p> </p>
<p><strong>Revendications pour une relance juste et verte</strong></p>
<p>Les groupes de femmes de la Montérégie revendiquent une relance juste et verte où les conditions favorables à l’émergence et la pérennité d'initiatives favorables en matière d’environnement sont priorisées par les décideurs. Les femmes ne peuvent plus être les seules à investir temps et énergie face à la dégradation, de plus en plus irréversible, de l’environnement. Devant un enjeu collectif, les solutions doivent être collectives!</p>
<p>À cet effet, la TCGFM invite les différents paliers gouvernementaux à financer et être partie prenante des projets inspirants qui, à l’heure actuelle, se multiplient en Montérégie. Les efforts en faveur d’environnement ne doivent pas être amoindris par un manque de courage ou de volonté politique.</p>
<p> </p>
<p><strong>Solidarité et action mondiale</strong></p>
<p>En 2013, près de 1000 femmes sont mortes et beaucoup d’autres ont souffert de graves blessures suite à l’effondrement des bâtiments <em>Rana Plaza</em> au Bangladesh, en Asie, où elles travaillaient dans des conditions inhumaines, contre un salaire misérable. Cette information a choqué le monde. Nous, femmes de la Marche Mondiale des Femmes, unissons nos voix à deux autres mouvements sociaux qui exigent la fin de l’impunité pour les entreprises multinationales. Nous décrétons que le 24 avril est un jour de Solidarité et d’Action Mondiale pour nous souvenir des martyres quotidiennes, et dénoncer l’exploitation et l’expropriation du travail des femmes au sein des dynamiques économiques mondiales.</p>
<p>Bien que cette campagne doit annuellement être ancrée dans nos agendas, c’est tout au long de l’année que nous devons nous informer et demeurer à l’affût de ce qui se passe à l'échelle mondiale. La dynamique d’exploitation du travail des femmes se doit d’être dénoncée et nos actions publiques de sensibilisation sont nécessaires au changement. </p>
<p> </p>
<p><strong>Avec sa campagne «</strong> <strong>L’environnement, un enjeu collectif</strong> <strong>! », </strong><strong>la TCGFM vous invite à démontrer votre appui à l’atteinte d’une réelle justice climatique</strong><strong>.</strong></p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif. En misant sur l’expertise diversifiée de ses membres, la TCGFM oriente ses actions vers l’amélioration des conditions socioéconomiques, culturelles et politiques des femmes. Elle travaille dans une perspective de défense des droits et d’atteinte de l’égalité entre (toutes) les femmes et les hommes.</p>
<p> </p>
<p>Sources :</p>
<p><a href="http://www.cqmmf.org/">www.cqmmf.org/</a></p>
<p><a href="http://www.stopcorporateimpunity.org/marche-mondiale-des-femmes-24-avril-jour-daction-mondiale-et-de-solidarite-feministe/?lang=fr">www.stopcorporateimpunity.org/marche-mondiale-des-femmes-24-avril-jour-daction-mondiale-et-de-solidarite-feministe/?lang=fr</a></p>
<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0">
<tbody>
<tr>
<td colspan="2" style="width:735px">
<p>Pour plus d’informations :</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td style="width:357px">
<p>Linda Crevier</p>
<p>Directrice générale</p>
<p>Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</p>
<p>514-562-2436/<a href="mailto:dg@tcgfm.qc.ca">dg@tcgfm.qc.ca</a></p>
</td>
<td style="width:378px">
<p>Joëlle Thérien, membre du comité de la Marche mondiale des femmes de la TCGFM</p>
<p>Agente de communication et de mobilisation, Centre de femmes du Haut-Richelieu</p>
<p>450-346-0662/<a href="mailto:amobilisation@cfhr.ca">amobilisation@cfhr.ca</a></p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Avr', 'jour' => '19', 'annee' => '2021', 'date' => '19 Avril 2021', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'MMF_Justice climatique_Femme seule.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'PENSER AUTREMENT LA CONCILIATION EN EMPLOI ? C’EST POSSIBLE! ', 'intro' => '<p>Dans le cadre de son projet Conciliation emploi-famille + (CEF+), la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie a le plaisir de vous inviter à son évènement virtuel « PENSER AUTREMENT LA CONCILIATION EN EMPLOI ? C’EST POSSIBLE! ».</p>
<p>Au programme : conférences, lancement d’outils et reconnaissances – le tout ponctué de plusieurs pauses santé!</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>- Existe-t-il des obligations légales, pour les employeurs, en matière de conciliation ?</p>
<p>- Les responsabilités de proche aidance au travail, est-ce que ça entraine des conflits ?</p>
<p>- Et les personnes sans enfants, sont-elles concernées par la conciliation emploi-famille ?</p>
<p>La conciliation entre l’emploi et les obligations personnelles est un enjeu bien réel au sein des organismes communautaires. Tant pour les employé.e.s que pour les organisations, les défis sont nombreux et les réalités multiples. Plus que jamais, il est essentiel de créer des espaces collectifs d’échanges et de réflexion pour en discuter - c'est exactement ce qu'on vous propose!</p>
<p>Serez-vous des nôtres ?</p>
<p>POUR VOUS INSCRIRE : <a href="https://www.eventbrite.ca/e/inscription-penser-autrement-la-conciliation-en-emploi-cest-possible-141169195865?fbclid=IwAR1vPnyEiEoLqrmwch4Xa53yXtwGfXoTS8JuWWF_vKIrxTBVe5dcCQkNAnU" rel="nofollow noopener" tabindex="0" target="_blank">https://www.eventbrite.ca/.../inscription-penser...</a></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Fév', 'jour' => '24', 'annee' => '2021', 'date' => '24 Février 2021', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'CEF_evenement16mars_VF sans conférencières-2.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Les groupes de femmes de la Montérégie en ont “plein l’masque des violences fait aux femmes!”', 'intro' => '<p>Montérégie, 25 novembre 2020- La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) lance aujourd’hui sa campagne « J’en ai plein l’masque des violences faites aux femmes : Agissons ensemble ! », cherchant à sensibiliser la population et les instances municipales quant à la présence de la violence faites aux femmes. Dans les prochains jours, plusieurs groupes membres de la TCGFM iront à la rencontre de leurs élu.es municipaux afin d’échanger avec eux sur leur engagement pour lutter contre les violences faites aux femmes dans leurs communautés. Toutes et tous sont invité.es à enlever leurs masques qui les empêchent de « reconnaitre toutes les formes de violences faites aux femmes, les dénoncer, et contribuer à leur élimination » telle que revendiquée par la Coalition québécoise de la Marche mondiale des femmes. <a href="http://www.cqmmf.org/">www.cqmmf.org/</a> </p>
<p>Par sa campagne, la TCGFM souhaite souligner les 12 jours d’action pour l’élimination des violences faites aux femmes et invite les instances municipales à faire pareil. Du 25 novembre au 6 décembre, la TCGFM dévoilera sur ses réseaux sociaux une nouvelle publication quotidienne dénonçant les différentes formes de violences vécues par les femmes. Les instances municipales sont invitées à partager ces publications, à émettre des communiqués de renfort pour dénoncer toutes formes de violences et à mener des actions concrètes pour contribuer à l’élimination de la violence faite aux femmes. </p>
', 'sous_titre' => 'Pourquoi « enlever vos masques » pour lutter contre les violences faites aux femmes ?', 'contenu' => '<p>La perpétuation des violences envers les femmes représente, encore aujourd’hui, l’un des principaux enjeux et obstacles pour l’émancipation des femmes. Les témoignages de nos groupes membres et des autres organisations (CALACS, maisons d’hébergement, centres de femmes, groupes d’information juridique, CNESST, etc.) offrant des services de première ligne aux femmes laissent peu de place à l’interprétation. Qu’elles soient vécues dans la sphère privée (famille, couple, amis) ou dans la sphère publique (travail, études, rue), les violences sont banalisées par la culture dominante et les femmes qui les subissent sont souvent isolées. La pandémie n’a qu’exacerbé la situation.</p>
<p>La violence de genre en chiffres :</p>
<p>• Une femme sur trois sera victime d’une agression à caractère sexuel au cours de sa vie et près de 90% de ces agressions ne seront jamais déclarées à la police ;</p>
<p>• <a href="https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1534399/feminicides-femicides-femmes-meurtres-violence-conjugale-conjoints-canada">De janvier à novembre 2019, 118 féminicides ont été commis au Canada. Il s’agit de femmes et de filles qui ont été assassinées parce qu’elles sont des femmes.</a>;</p>
<p>• <a href="https://www.securitepublique.gouv.qc.ca/fileadmin/Documents/police/statistiques/criminalite/2016/stats_criminalite_2016_2.pdf">Les femmes représentent 3474 sur 3984 des victimes d’agressions sexuelles dénoncées à la police en 2016 au Québec</a>;</p>
<p>• <a href="https://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/sante/enfants-ados/alimentation/sante-jeunes-secondaire-2016-2017-t3.html">En Montérégie, 44,4% des adolescentes du secondaire ont subi des violences au moins une fois entre 2016-2017</a>.</p>
<p><strong>12 jours d'action "</strong> <strong>Aggisons ensemble ! "</strong></p>
<p>Reconnu par l’ONU en 1999, le 25 novembre est la Journée internationale consacrée à l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Depuis 1989, la campagne de 12 jours d’action québécoise se déroule chaque année du 25 novembre au 6 décembre. Qui peut oublier la tuerie sexiste et antiféministe ayant eu lieu à l’École Polytechnique où des femmes ont été tuées parce qu'elles étaient des femmes? </p>
<p>Cette campagne doit être ancrée dans nos agendas, mais nous devons, tout au cours de l’année, nous informer et être à l’affut de toutes les formes violences dont les femmes sont victimes.</p>
<p>Avec sa campagne « J’en ai plein l’masque des violences faites aux femmes : Agissons ensemble ! », la TCGFM vous invite à démontrer votre appui pour l’élimination les violences faites aux femmes!</p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif. En misant sur l’expertise diversifiée de ses membres, la TCGFM oriente ses actions vers l’amélioration des conditions socioéconomiques, culturelles et politiques des femmes. Elle travaille dans une perspective de défense des droits et d’atteinte de l’égalité entre (toutes) les femmes et les hommes.</p>
<table>
<tbody>
<tr>
<td colspan="2">
<p>Pour plus d’informations :</p>
</td>
</tr>
<tr>
<td>
<p>Linda Crevier</p>
<p>Directrice générale</p>
<p>Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</p>
<p><a href="tel:514-562-2436">514-562-2436</a> / <a href="mailto:dg@tcgfm.qc.ca">dg@tcgfm.qc.ca</a></p>
<p>Marie-Christine Plante, administratrice au CA de la TCGFM</p>
<p>Adjointe à la direction, Responsable de la Sensibilisation et la Concertation, Carrefour pour elle</p>
<p>450-651-5800, #229 / formation@carrefourpourelle.org</p>
<p> </p>
<p> </p>
<p> </p>
</td>
<td>
<p> </p>
</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Nov', 'jour' => '25', 'annee' => '2020', 'date' => '25 Novembre 2020', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '72436D64-C0E7-4055-8C0D-758CD1AF212B.jpeg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Marche mondiale des femmes 2020...25 ans plus tard, trop de femmes travaillent encore pour des pinottes! ', 'intro' => '<p><a name="_Hlk53687841"><strong>Montérégie, le 16 octobre 2020 – </strong></a>La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) lance aujourd’hui son « Opération pinottes », cherchant à sensibiliser la population quant à la pauvreté encore vécue majoritairement par les femmes. À travers la région, les élues et élus, tant provinciaux que fédéraux, recevront pour leur part une livraison de pinottes leur étant spécialement dédiée, afin que les revendications visant à permettre aux femmes d’enfin s’en sortir ne passent pas inaperçues!</p>
<p>Une grande marche nationale devait se tenir en date du 17 octobre 2020, soit 25 ans suivant la première Marche des femmes, mais la pandémie en cours nécessite une adaptation face aux actions envisagées. Soulignons que le contexte actuel ne fait qu’accentuer les inégalités encore présentes et dont trop de femmes portent le poids, tel que reflété par le G13, Concertation nationale féministe :</p>
<p style="margin-left:2.0cm"><strong>« </strong>Intervenantes, professeures, infirmières, préposées, caissières, coiffeuses, mamans, proches aidantes, etc. – mais aussi principales victimes de la pandémie, surreprésentées à l’aide sociale, dans les emplois à temps partiel, en termes de statuts d’immigration précaires, etc. : le travail réalisé par les « anges gardiennes » est incommensurable. Et souvent invisible, autant que dévalorisé. <strong>» </strong><a href="https://rcentres.qc.ca/2020/06/09/m-legault-plus-que-des-remerciements-cap-vers-une-societe-egalitaire/">(https://rcentres.qc.ca</a>)</p>
<div> </div>
', 'sous_titre' => 'Des témoignages recueillis à travers la région…', 'contenu' => '<p>L’«Opération pinottes» permet aux femmes de la Montérégie de mettre en mots les expériences vécues, apportant différents visages à cette féminisation de la pauvreté, tel qu’observé par les groupes membres de la TCGFM. Que ce soit par les emplois faiblement rémunérés, le travail invisible, la charge colossale qu’implique la conciliation famille-travail-études… toutes ces réalités que portent majoritairement les femmes représentent une valeur inestimable pour notre société et ne permettent aucunement aux femmes d’être rémunérées à la hauteur du travail qu’elles réalisent. La récolte de leurs témoignages effectuée ces dernières semaines par la TCGFM permet ainsi de donner vie encore aujourd’hui aux réalités déjà décriées lors de la première Marche des femmes «du pain et des roses» en 1995. Soulignons que cette mobilisation initiée ici-même au Québec a été reprise pour une première marche mondiale tenue en l’an 2000.</p>
<p><strong>Des demandes légitimes! </strong></p>
<p>Les groupes membres de la TCGFM livrent aujourd’hui les témoignages recueillis, joints ludiquement à des pots de pinottes, à l’intention des élues et élus de la Montérégie. À ces paroles de femmes, se joignent les revendications portées par la Table:</p>
<ul>
<li>Rehausser le salaire minimum à 15$ de l’heure. C’est un minimum!</li>
<li>Bénéficier de plus de 10 journées de congés payés pour cause de maladie ou de responsabilités familiales. À chaque année!</li>
<li>Augmenter les prestations de l’aide de dernier recours. Ça suffit la survie!</li>
<li>Construire des unités de logement social. Pour allouer uniquement 25% de notre revenu à se loger!</li>
<li>Établir un revenu minimum garanti à toutes les femmes. Et pas seulement en temps de pandémie!</li>
</ul>
<p>Pour sortir de la pauvreté, il nous faut plus que la simple couverture des besoins de base!</p>
<p><strong>Des pinottes à partager sur nos réseaux sociaux…</strong></p>
<p>Afin d’illustrer son «Opération pinottes», la TCGFM fera circuler un visuel à partager permettant de sensibiliser la population à la féminisation de la pauvreté. Chaque citoyen.ne est invité.e à modifier sa photo de profil via les réseaux sociaux avec le mot-clic #OperationPinottes, de même qu’à partager son témoignage. Nous souhaitons ainsi toucher le plus de gens possible face à cet enjeu particulièrement inquiétant devant la 2<sup>e</sup> vague de COVID qui s’amorce.</p>
<p>La TCGFM poursuivra ses actions entourant la 5<sup>e</sup> marche des femmes jusqu’au 17 octobre 2021 autour des enjeux suivants : la violence faite aux femmes; les réalités des femmes immigrantes, migrantes et racisées; la justice climatique; et le sujet particulièrement décrié récemment, soit celui des femmes autochtones.</p>
<p>Pour plus d’informations :</p>
<p><br />
Linda Crevier, Directrice générale<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
Tél. : 514-562-2436<br />
Courriel : dg@tcgfm.qc.ca </p>
<p>Marie-Christine Plante, administratrice au CA de la TCGFM<br />
Adjointe à la direction, Responsable de la Sensibilisation et la Concertation<br />
Carrefour pour elle<br />
Tél. : 450-651-5800 pose 229<br />
Courriel : formation@carrefourpourelle.org </p>
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<p>La TCGFM, la TCMFM et l'Université du Québec à Montréal (<em>UQAM</em>) ont organisé ce 15 septembre 2020 un événement virtuel commun visant à la présentation de ces réalisations, au cours duquel la parole a été donnée à deux politiciennes qui ont pu faire le lien entre le contenu de l’étude, celui des capsules-vidéo, et leur propre expérience.</p>
<p><strong>L’étude : </strong><a href="http://tcgfm.qc.ca/preview/Sommaire-R%C3%A9presentations%20m%C3%A9diatiques-enjeux-incidences%20pour%20les%20candidates.pdf"><strong><em>Les représentations médiatiques des femmes aux élections municipales : quels enjeux, quelles incidences pour les candidates?</em></strong></a></p>
<p>Cette étude constitue la deuxième phase de la première recherche complétée en 2018. Au cours de la recherche menée en 2020, les candidates ont mis de l’avant le rôle des médias en politique municipale, la manière dont elles ont été représentées dans ceux-ci et l’effet que les médias ont eu sur leur campagne électorale. Elles ont partagé leurs stratégies pour composer avec les enjeux de la couverture médiatique et les conséquences que celle-ci a eue autant sur leur vie professionnelle que privée.</p>
', 'sous_titre' => 'Une série de capsules-vidéo qui s’adresse aux journalistes et responsables des communications ', 'contenu' => '<p>Le contenu des quatre capsules-vidéo a été produit à partir des recommandations présentes dans les deux études de contexte médiatique produites en collaboration avec l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) (<a href="https://tcmfm.ca/wp-content/uploads/2020/06/uqtr_corrige-1.pdf">médias universitaires</a>) et de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) (<a href="https://tcmfm.ca/wp-content/uploads/2020/06/rapport_uqam_final-1.pdf">médias d’appartenance privé et médias communautaires).</a> C’était déjà à partir de ces recommandations qu’avaient été conçus les trois outils médias (<a href="https://tcmfm.ca/wp-content/uploads/2020/06/Guide-Faites-le-PARI-dune-couverture-neutre-1.pdf">Guide de bonnes pratiques journalistiques</a>, <a href="https://tcmfm.ca/wp-content/uploads/2020/06/Aide-Memoire-1.pdf">Aide-Mémoire</a> et Bloc-notes). Les capsules proposent ainsi de faire le « PARI d’une couverture neutre », en privilégiant une formulation neutre, en accordant autant d’espace médiatique aux femmes qu’aux hommes, en résistant à l’envie de faire des commentaires sur l’apparence, et en intégrant la lutte aux stéréotypes dans les communications.</p>
<p>Il est presque troublant de constater combien le contenu des capsules-vidéo, réalisées en parallèle de l'étude et alors que les responsables de leur production n’en connaissaient pas les résultats, est cohérent avec les données relatées dans l’étude.</p>
<p>La conclusion laisse peu de place au doute : il existe toujours un « régime de genre » en politique municipale, régime qui se répercute nécessairement dans les représentations médiatiques des femmes candidates.La conclusion laisse peu de place au doute : il existe toujours un « régime de genre » en politique municipale, régime qui se répercute nécessairement dans les représentations médiatiques des femmes candidates.</p>
<p><em>Le projet « Plus de femmes en politique ? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés ! » fut rendu possible grâce à un financement triennal du ministère des Femmes et de l’Égalité des genres. Les partenaires impliquées dans ce projet étaient la Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie (TCMFM), la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM), la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent (TCGFBSL), de même que le Groupe des médias étudiants (GME) de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).</em></p>
<p> </p>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Sep', 'jour' => '15', 'annee' => '2020', 'date' => '15 Septembre 2020', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => null, 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Dévoilement de l'étude "Les représentations médiatiques des femmes en politique municipale : quels enjeux, quelles incidences?"', 'intro' => '<p>Dans le cadre du projet "Plus de femmes en politique : les médias et les instances municipales, des acteurs clés !" et à l'aube du déclenchement des élections municipales de 2021, venez découvrir les résultats de l'étude "Les représentations médiatiques des femmes en politique municipale : quels enjeux, quelles incidences sur les candidates ?" *</p>
<p>Au cœur de cette recherche, nous avons réalisé 19 entretiens avec des candidates aux élections municipales de 2017, et ce dans 10 régions du Québec. Nous sommes très fières de cette étude, qui contient non seulement une analyse féministe et genrée des représentations médiatiques des femmes en politique municipale, mais aussi des recommandations aux médias, aux paliers gouvernementaux et aux candidates.À cette occasion, nous vous dévoilerons également les capsules vidéo développées en lien avec les réalisations antérieures du projet.</p>
<p>Le dévoilement se fera sur Facebook Live, en direct des pages de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) et de la Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie (TCMFM). <a href="https://www.facebook.com/tablefemmesmonteregie">https://www.facebook.com/tablefemmesmonteregie</a></p>
<p>Au programme :<br />
- Présentation de la recherche et de ses résultats<br />
- Prises de paroles de femmes en politique municipale : allocutions de Mme Sylvie Vignet, mairesse de Rivière-du-Loup, et de Mme Nathlie Goulet, conseillère municipale de la Ville de Montréal et membre du Comité exécutif<br />
- Lancement de capsules vidéo produites par la Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie</p>
', 'sous_titre' => 'Pour y assister', 'contenu' => '<p>Pour y assister, <strong>rien de plus simple</strong> : rendez-vous sur la page <strong>Facebook</strong> de la <a href="https://www.facebook.com/tablefemmesmonteregie">Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</a>, à 10h00, à l’adresse suivante : <a href="https://www.facebook.com/tablefemmesmonteregie">https://www.facebook.com/tablefemmesmonteregie</a></p>
<p>Nul besoin d’avoir vous-même un compte Facebook pour visionner la diffusion en direct du lancement !</p>
<p> </p>
<p>Un <a href="https://www.facebook.com/events/316611262765516/"><strong>événement Facebook</strong></a> a également été créé : vous pourrez trouver toute l’information sur l’évènement, qui sera régulièrement mise à jour, ici : <a href="https://www.facebook.com/events/316611262765516/">https://www.facebook.com/events/316611262765516/</a></p>
<p>N’hésitez pas à partager, à vous inscrire et à diffuser!</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Sep', 'jour' => '13', 'annee' => '2020', 'date' => '13 Septembre 2020', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'CFC header-1.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Travailler dans le communautaire en Montérégie : CONCILIER, ÇA SE PASSE COMMENT ? ', 'intro' => '<p><strong>Longueuil, le 27 mai 2020 </strong>– Dans le cadre de son projet CEF+ (conciliation emploi-famille-études-proche aidance), la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) lançait jeudi dernier son questionnaire « Concilier, ça se passe comment pour toi ? ». Disponible en ligne (lien au bas du communiqué), il vise à documenter comment s’inscrit la conciliation des responsabilités professionnelles et personnelles dans les pratiques organisationnelles des groupes communautaires de la Montérégie. Autrement dit, c’est une façon d’aller à la rencontre des travailleuses et travailleurs afin de comprendre leur réalité en matière de conciliation.</p>
<p>Afin d’obtenir un portrait le plus complet et authentique possible, la TCGFM a besoin du soutien des organismes de la région ; d’abord pour encourager leurs employéEs à participer en répondant au questionnaire et ensuite pour en faire la promotion à travers leurs réseaux.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Démarré à l’automne 2018, le projet CEF+ vise l’amélioration des pratiques de conciliation au sein des organismes à but non lucratif de la région. Le milieu communautaire ayant son lot de particularités, il est primordial de saisir avec exactitude les enjeux spécifiques auxquels il est confronté si on veut voir des changements durables dans les façons de faire. Or, c’est en collaboration avec différents partenaires de la région, dont l’organisme Carrefour pour Elle, le Centre de femmes du Haut-Richelieu, la Corporation de Développement Communautaire de l’Agglomération de Longueuil et Place à l’emploi que la TCGFM pilote depuis bientôt deux ans différentes activités de consultation, de sensibilisation et d’accompagnement en matière de conciliation emploi-famille+.</p>
<p>Il importe de saisir qu’au-delà des avantages de recrutement et de fidélisation du personnel, la conciliation emploi-famille+ a un impact significatif sur l’égalité entre les femmes et les hommes. En tant qu’organisation, lorsqu’on implante des mesures de conciliation, on envoie un message puissant à nos employéEs : on reconnaît que les responsabilités à assumer à l’extérieur du travail existent et qu’elles se doivent d’être considérées.</p>
<p>Le fait de reconnaître cette charge et ce travail invisible qui, encore aujourd’hui, repose majoritairement sur les épaules des femmes est essentiel à l’atteinte d’un partage équitable des responsabilités familiales et domestiques entre les femmes et les hommes et donc, d’une véritable égalité.</p>
<p><strong>Lien du questionnaire : </strong><a href="https://s.surveyplanet.com/dbKWL5BMs"><strong>https://s.surveyplanet.com/dbKWL5BMs</strong></a></p>
<p><strong>Page Facebook de la TCGFM : </strong><a href="https://www.facebook.com/tablefemmesmonteregie/"><strong>https://www.facebook.com/tablefemmesmonteregie/</strong></a></p>
<p><strong>Site web de la TCGFM : </strong><a href="http://www.tcgfm.qc.ca/"><strong>http://www.tcgfm.qc.ca/</strong></a></p>
<p> </p>
<p><strong>À propos de la TCGFM : </strong></p>
<p>La TCGFM est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission la défense des droits des conditions de vie des femmes de la région de la Montérégie sur les plans économique, politique et social. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à communiquer avec nous et nous suivre sur Facebook.</p>
<p>Cette initiative est soutenue par le gouvernement du Québec.</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '02', 'annee' => '2020', 'date' => '02 Juin 2020', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => 'CEF_images_Concilier.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'La violence conjugale : Une remise en question de la définition qui fait mal !', 'intro' => '<p>Longueuil, 5 mars 2020</p>
<p>La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) et ses groupes membres dénoncent la propension de plusieurs groupes pour hommes à remettre en question la définition de la violence conjugale, telle qu’elle a été réitérée, dans le Plan d’action gouvernementale en matière de violence conjugale 2018-2023. Dans la définition, la violence conjugale est issue d’une dynamique de rapports de pouvoir inégaux entre les femmes et les hommes. Elle mise sur l’aspect coercitif, c’est-à-dire la prise de contrôle sur l’autre plutôt que la perte de maîtrise de soi.</p>
<p>Sur le terrain, des groupes pour hommes ont conçu leurs propres définitions de la violence conjugale y incluant plusieurs situations : des ripostes de femmes victimes qui se défendent, des situations de tensions ponctuelles au sein d’un couple ou encore des disputes qui n’ont rien à voir avec les rapports de domination.</p>
<p>La TCGFM souhaite rappeler qu’il y a des impacts désastreux à vouloir regrouper toutes les manifestations de violence entre partenaires intimes sous l’appellation violence conjugale.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Actuellement, il y a toujours un besoin de financement criant pour les maisons d’aide et d’hébergements pour femmes et enfants victimes de violence conjugale. Leurs taux d’occupation sont de 100% et elles doivent refuser fréquemment des femmes et des enfants, « On s’explique mal que les groupes de femmes doivent déployer leurs énergies et leurs ressources à défendre une définition de la violence conjugale qui est pourtant inscrite dans la Politique en matière de violence conjugale depuis 1995 », mentionne Linda Crevier, directrice générale de la TCGFM. Les données recueillies par le Ministère de la sécurité publique sont éloquentes : 80% des victimes de violences en contexte conjugal sont des femmes et ce sont elles qui subissent les actes criminels les plus graves. Les femmes représentent 88% des victimes de voies de fait grave et la majorité des victimes d’homicides survenus en contexte conjugal. (12 à 15 femmes tuées, par année, au Québec.)</p>
<p>Pour la TCGFM, il est évident que notre société ne peut pas se permettre de s’éloigner de la définition actuelle de la violence conjugale. La mettre de côté viendrait annihiler l’existence d’un constat réel : ce sont encore les femmes qui sont principalement les victimes de violence conjugale au Québec. Comme le soulève Marie-Christine Plante, adjointe à la direction de l’organisme Carrefour pour Elle : « On risque de tomber dans une vision symétrique de la problématique et croire qu’elle peut survenir autant, et pareillement, chez les hommes comme chez les femmes. Lorsqu’on ne tient pas compte des rapports de pouvoir, de la gravité et de l’intensité dans l’analyse de la violence conjugale, on en vient à minimiser les conséquences sur les femmes victimes et ça augmente leurs obstacles à quitter leur conjoint violent. » Les intervenantes des maisons d’hébergements voient de plus en plus ce discours de symétrie se répandre auprès des victimes elles-mêmes, qui se croient alors responsables de la violence qu’elles subissent. En outre, les groupes sont témoins d’un nombre grandissant de plaintes croisées ou de femmes victimes accusées de voies de faits, dans des contextes de réactions défensives face à la violence ou au contrôle qu’elles subissent.</p>
<p>La TCGFM et ses membres tiennent à préciser qu’elles ne rejettent pas les organismes pour hommes violents, mais qu’elles restent critiques quant à certains services, et ce, selon l’approche et la définition utilisées dans leurs interventions. Au-delà du discours symétrique, la TCGFM et ses membres, s’inquiètent que certains groupes, glissent vers la victimisation des agresseurs en considérant leurs justifications comme des causes à la violence utilisée. Elles rappellent que les facteurs individuels ne doivent pas être substitués aux enjeux sociaux de la problématique, tel que mentionné dans le dernier plan d’action en matière de violence conjugale : « L’origine réelle de la violence conjugale est souvent confondue avec les facteurs qui lui sont associés, par exemple : l’alcool, la drogue ou encore les difficultés personnelles ou économiques ».</p>
<p>Pour la TCGFM, il est clair que la violence conjugale se manifeste, de façon répétitive, dans des rapports inégalitaires et de domination au sein d’un couple. Il ne s’agit pas de gestes de violence isolés, de chicanes de couple ou d’un conflit mutuel. Dans un contexte de violence conjugale, il y a toujours une personne qui veut contrôler l’autre pour la dominer, la subjuguer, lui restreindre sa liberté de pensée et d’action, lui faire perdre son estime de soi, etc. La remise en question de la définition contribue à une désinformation sociale qui entrave non seulement la lutte des groupes de femmes contre les violences faites aux femmes, mais qui a de lourdes conséquences sur les victimes.</p>
<p>Rappelons que la TCGFM, est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission la défense des droits des conditions de vie des femmes de la région de la Montérégie sur les plans économique, politique et social. Pour plus d’informations n’hésitez pas à communiquer avec nous et nous suivre sur Facebook.</p>
<p>Wendy Rivard, Agente de projet </p>
<p>w.rivard@tcgfm.qc.ca / 450.671.5095</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Mar', 'jour' => '11', 'annee' => '2020', 'date' => '11 Mars 2020', 'category' => null, 'tags' => array('Violence'), 'cover' => 'TCGFM-image violence-3.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array('Violence' => '1')), array('titre' => 'Plus de femmes en politique', 'intro' => '<p>Le 31 janvier 2020, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM), en collaboration avec la Commission Femmes et gouvernance de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) est fière d’organiser l’événement régional « Plus de femmes en politique » au Holiday Inn de Longueuil.</p>
', 'sous_titre' => 'Plus de femmes en politique ? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés !', 'contenu' => '<p>L'évènement animée par Pascale Navarro, journaliste et chroniqueuse télé, est l’occasion de dévoiler les outils développés dans le cadre du projet « Plus de femmes en politique ? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés ! »:</p>
<p><br />
1) La trousse : « Des municipalités engagées pour plus de femmes en politique », destinée aux éluEs et instances municipales, construite à partir de laboratoires de pratiques ayant eu lieu dans sept municipalités du Bas-Saint-Laurent ;<br />
2) Le guide : « Faites le pari d’une couverture neutre! », vise l’adoption de bonnes pratiques journalistiques par les médias.<br />
<br />
De plus, des initiatives et des outils développés par l’UMQ seront proposés en présence de Maude Laberge, mairesse de Sainte-Martine et présidente de la commission Femmes et gouvernance de l’UMQ. Par ailleurs, elle abordera son parcours personnel en politique municipale et les obstacles qu’elle a rencontrés lors des dernières élections. Finalement, Mme Navarro clôturera la journée par une conférence sur les femmes et la scène municipale, en prévision des élections municipales de 2021.</p>
<p> </p>
<p>« Trop souvent, la place accordée aux femmes au sein des instances municipales et dans les médias n'est pas à la hauteur de leurs aspirations et compétences. La difficulté de trouver des modèles positifs au sein des espaces public et médiatique est aussi un obstacle à l'accroissement de la représentation des femmes en politique. L'ensemble de ces obstacles systémiques (largement documentés dans notre recherche), auxquels les politiciennes doivent faire face, freine leur participation à la vie politique » rappelle Linda Crevier, directrice de la TCGFM. Nous sommes convaincues que l’ensemble des outils présenté dans le cadre de cette journée sauront alimenter une réflexion et une prise de conscience autour des enjeux des représentations médiatiques des femmes et de leur place en politique municipale.</p>
<p> </p>
<p>L’événement est gratuit et ouvert à toutes et à tous. Les réservations sont obligatoires, car les places sont limitées.</p>
<p> </p>
<p>Pour plus d’informations : <a href="mailto:info@tcgfm.qc.ca">info@tcgfm.qc.ca</a> ou 450-671-5095 ou pour s’inscrire :</p>
<p><a href="https://www.eventbrite.ca/e/plus-de-femmes-en-politique-tickets-86562259047">https://www.eventbrite.ca/e/plus-de-femmes-en-politique-tickets-86562259047</a></p>
<p> </p>
<p>La programmation est disponible à : <a href="https://www.facebook.com/events/2558661710870031/?active_tab=discussion">https://www.facebook.com/events/2558661710870031/?active_tab=discussion</a></p>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jan', 'jour' => '16', 'annee' => '2020', 'date' => '16 Janvier 2020', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'TCGFM_evenement-31 janvier 2020.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Parité dans la représentation de la Montérégie au Parlement du Canada.', 'intro' => '<p>Longueuil, le 23 octobre 2019 -</p>
<p style="text-align:justify">Au lendemain des élections fédérales, la TCGFM est contente de constater qu’il y a la parité dans la représentation de la Montérégie (7 députées et 8 députés) au Parlement du Canada. Ceci étant dit, nous sommes toujours inquiets devant l’absence notable des enjeux de condition féminine au cours de la campagne électorale. Les priorités des femmes ont pourtant été soulevées dans toutes les régions de même que par plusieurs regroupements nationaux. La TCGFM est fière des revendications politiques féministes que ses groupes membres ont portées durant la campagne à travers la plateforme Les femmes sont POLITIQUE PAS POUR RIEN!</p>
<p>EN MONTÉRÉGIE, VOICI LES PERSONNES QUI ONT ÉTÉ ÉLUES OU RÉÉLUES :</p>
<ul>
<li>Bécancourt-Nicolet-Saurel : <strong>Louis Plamondon</strong>, BQ (réélu)</li>
<li>Brome-Missisquoi : <strong>Lyne Bessette</strong>, PLC (élue)</li>
<li>Brossard-Saint-Lambert : <strong>Alexandra Mendes</strong>, PLC (réélue)</li>
<li>Beloeil-Chambly : <strong>Yves-François Blanchet</strong>, BQ (élu)</li>
<li>Châteauguay-Lacolle : <strong>Brenda Shanahan</strong>, PLC (réélue)</li>
<li>La Prairie : <strong>Alain Therrien</strong>, BQ (élu)</li>
<li>Longueuil-Charles Lemoyne : <strong>Sherry Romanado</strong>, PLC (réélue)</li>
<li>Longueuil-Saint-Hubert : <strong>Denis Trudel</strong>, BQ (élu)</li>
<li>Montarville : <strong>Stéphane Bergeron</strong>, BQ (élu)</li>
<li>Pierre-Boucher-Les Patriotes-Verchères : <strong>Xavier Barsalou-Duval</strong>, BQ (réélu)</li>
<li>Saint-Hyacinthe-Bagot : <strong>Simon-Pierre Savard-Tremblay</strong>, BQ (élu)</li>
<li>Saint-Jean : <strong>Christine Normandin</strong>, BQ (élue)</li>
<li>Salaberry-Suroît : <strong>Claude DeBellefeuille</strong>, BQ (réélue)</li>
<li>Shefford : <strong>Andréanne Larouche</strong>, BQ (élue)</li>
<li>Vaudreuil-Soulanges : <strong>Peter Schiefke</strong>, PLC (réélu)</li>
</ul>
<p style="text-align:justify">C’est maintenant le temps de contacter les députéEs de la Montérégie pour savoir quelles actions concrètes seront réalisées pour l'améliorer des conditions de vie de toutes les femmes.</p>
', 'sous_titre' => 'La plateforme : « Les femmes sont POLITIQUE pas pour rien ».', 'contenu' => '<p style="text-align:justify">Rappelons que la TCGFM est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de la région sur les plans économique, politique et social.</p>
<p>Linda Crevier, directrice générale</p>
<p><a href="mailto:dg@tcgfm.qc.ca">dg@tcgfm.qc.ca</a> / 514-562-2436</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Oct', 'jour' => '08', 'annee' => '2019', 'date' => '08 Octobre 2019', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => 'TGCFM_revendications2019_WEB-01-1.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Je suis féministe car être une femme limite encore les opportunités', 'intro' => '<p>L’égalité entre les femmes et les hommes, ça passe aussi par l’égalité des opportunités et l’élimination des barrières sociales basées sur le genre!</p>
<p>Nombreuses sont les contraintes qui contribuent à complexifier, voir empêcher, l’accès des femmes aux rôles décisionnels dans notre société ; c’est ce qu’on appelle le plafond de verre. Même si la parité est un objectif souvent ciblé dans les secteurs professionnels et politiques, les femmes demeurent sous-représentées au sein des sphères de pouvoir et ce, en raison de multiples discriminations systémiques.</p>
<p> En contexte de campagne électorale fédérale, la TCGFM vous invite à réfléchir tant à la présence des femmes au sein des partis politiques qu’à la place qu’elles occupent au sein des décisions et des actions prioritaires.</p>
<p> </p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Rappelons que par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.</p>
<p>La TCGFM vous invite à suivre la campagne et à partager les publications sur vos réseaux sociaux.</p>
<p>Aimez, commentez, partagez et assurez-vous d'utiliser le #TCGFM30ans dans vos publications.</p>
<p>Pour nous suivre sur Facebook : @tablefemmesmonteregie</p>
<p>Crédit illustration : Chloloula, Bédé et illustration</p>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Oct', 'jour' => '01', 'annee' => '2019', 'date' => '01 Octobre 2019', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'Plafond verre-2.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Je suis féministe car trop de femmes vivent des violences parce qu’elles sont des femmes!', 'intro' => '<p>Non, la violence ce n’est pas juste des coups.</p>
<p>Oui, le contrôle, la manipulation et les “taquineries sexuelles déplacées”, c’est de la violence.</p>
<p>Non, une femme n’est pas responsable des violences qu’elle subit. JAMAIS.</p>
<p>Oui, dire à une femme qu'elle a provoqué les violences subies, c’est aussi de la violence.</p>
<p>Non, être une femme ne devrait pas représenter un risque de violence.</p>
<p>Oui, les violences faites aux femmes, parce qu’elles sont des femmes, ont un impact sur TOUTES les femmes.</p>
<p>Partagez dans vos réseaux et aidez-nous à passer le mot : ❌ ÇA DOIT CESSER. ❌</p>
<p> </p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Rappelons que par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.<br />
La TCGFM vous invite à suivre la campagne et à partager les publications sur vos réseaux sociaux.</p>
<p>Aimez, commentez, partagez et assurez-vous d'utiliser le #TCGFM30ans dans vos publications.</p>
<p>Pour nous suivre sur Facebook : @tablefemmesmonteregie</p>
<p>Crédit illustration : Chloloula, Bédé et illustration</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Sep', 'jour' => '18', 'annee' => '2019', 'date' => '18 Septembre 2019', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'TCGFM-image violence-1.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Je suis féministe et je dénonce les pubs sexistes', 'intro' => '<div>
<p>Utiliser le corps de la femme comme valeur marchande, ça suffit ! L’égalité, ça passe aussi par notre façon de montrer les femmes et les hommes dans les pubs.</p>
<p>La TCGFM défend les droits des femmes depuis 30 ans. L’égalité des genres n’est pas atteinte, mais la dénonciation du sexisme et de l’objectivation des femmes est essentielle pour y arriver. 30 ans de féminismes et ça continu!</p>
</div>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Rappelons que par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.<br />
La TCGFM vous invite à suivre la campagne et à partager les publications sur vos réseaux sociaux.</p>
<p>Aimez, commentez, partagez et assurez-vous d'utiliser le #TCGFM30ans dans vos publications.</p>
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<p>Crédit illustration : Chloloula, Bédé et illustration</p>
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<p>Quand on soulève les inégalités persistantes entre les femmes et les hommes, la charge mentale est un concept important, bien que souvent mal compris. Traditionnellement, les hommes travaillaient et les femmes assuraient les responsabilités domestiques et familiales. Aujourd’hui, bien que les femmes aient intégré elles aussi le marché de l’emploi, elles demeurent les principales responsables de la sphère privée. Le problème de cette responsabilité de tout orchestrer, outre le fait qu’elle a un poids, qu’elle prend du temps et qu’elle demande de l’énergie c’est qu’elle est INVISIBLE! Tellement invisible que bien des gens croient encore qu’elle n’existe pas …</p>
<p>La charge mentale, ce n’est pas juste les tâches ménagères et la gestion des enfants. La charge mentale, c’est le poids généré par le devoir d’assurer À LA FOIS les responsabilités du travail, du couple, de la famille, des études, de la proche aidance et de la vie sociale et collective. L’égalité entre les femmes et les hommes, c’est aussi de partager la charge mentale!</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Rappelons que par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.<br />
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<p>Crédit illustration : Chloloula, Bédé et illustration</p>
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<p>La pauvreté vécue par les femmes a la particularité d’être souvent invisible. Être une femme pauvre, ça ne se limite pas à être sans emploi ou sans domicile fixe et ça ne se voit pas toujours. Pour certaines, la pauvreté c’est de travailler à temps partiel pour s’occuper des enfants ou des proches dans le besoin. Pour d’autres, c’est d’allouer une trop grosse part de son revenu pour se loger. Pour d’autres encore, c’est d’œuvrer dans des secteurs d’emploi traditionnellement féminins qui sont souvent moins bien rémunérés, de devoir fréquenter les banques alimentaires pour assurer leurs besoins de base ou de demeurer dans une relation violente parce qu’elles dépendent financièrement de leur conjoint.</p>
<p>La pauvreté ce n’est pas un choix.</p>
<p>La pauvreté, ce n’est pas parce qu’on ne la voit pas qu’elle n’existe pas.</p>
</div>
', 'sous_titre' => '30 avril 2019. 3e mois de la campagne “ TCGFM : 30 ans de féminismes”. 3e illustration qui met en lumière la réalité invisible d’encore trop de femmes. ', 'contenu' => '<p>Rappelons que par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.<br />
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<p>Crédit illustration : Chloloula, Bédé et illustrationRappelons que par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.</p>
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<p>Saviez-vous qu’actuellement au Québec, pour chaque dollar gagné par un homme, une femme gagne 0,87$ seulement?</p>
</div>
<p>30 mars 2019. 30 ans de travail pour les droits des femmes. 30 ans de féminismes parce que - OUI, MÊME EN 2019 - les injustices entre les femmes et les hommes perdurent. Si vous jugez vous aussi que c’est inacceptable qu’une femme gagne un salaire inférieur que son collègue masculin seulement parce que c’est une femme, vous êtes plus féministe que vous le pensez.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Rappelons que par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.<br />
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<div>
<p>Crédit illustration : Chloloula, Bédé et illustration</p>
</div>
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<p>En ce 30 février 2019, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est fière de lancer la campagne : « TCGFM : 30 ans de … » soulignant ses 30 ans d’existence à titre d’organisme de défense de droits.</p>
<p> </p>
', 'sous_titre' => 'TCGFM-campagne du 30e anniversaire', 'contenu' => '<p>Il ne s’agit pas d’une erreur de notre part, nous savons bien que le 30 février n’existe pas. Malheureusement, il en va de même pour l’égalité entre les femmes et les hommes, qui pourtant n’est pas un nouveau concept ! En effet, même en 2019, des injustices basées sur le genre se produisent encore chaque jour. Malgré les mythes suggérant l’atteinte de l’égalité, les conditions de vie des femmes demeurent défavorables et c’est pour l’amélioration de celles-ci qu’oeuvre la TCGFM.<br />
Par sa campagne : « TCGFM : 30 ans de … », la TCGFM souhaite amener les gens à porter une attention particulière aux conditions de vie actuelles des femmes. Ainsi, chaque 30e jour du mois, et ce jusqu’à l’automne, la TCGFM publiera sur ses réseaux sociaux une nouvelle image illustrant de façon ludique et colorée différentes réalités vécues par les femmes.<br />
La TCGFM vous invite à suivre la campagne et à partager les publications sur vos réseaux sociaux.<br />
Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif. En misant sur l’expertise diversifiée de ses membres, la TCGFM oriente ses actions vers l’amélioration des conditions socioéconomiques, culturelles et politiques des femmes. Elle travaille dans une perspective de défense des droits et d’atteinte de l’égalité entre (toutes) les femmes et les hommes.</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '11', 'annee' => '2019', 'date' => '11 Juin 2019', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => 'TCGFM-30e-Image 1-2.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'La violence conjugale : co-responsable ou victime?', 'intro' => '<p style="text-align: justify;">Longueuil, le 26 novembre 2018 – Le mercredi 21 novembre dernier, les membres de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) se sont rencontrées à Sainte-Julie afin d’échanger au sujet de la condition féminine dans la région. Les témoignages de nos groupes membres offrant des services de première ligne aux femmes subissant divers types de violences (CALACS, maisons d’hébergement, centres de femmes, etc.) laissent peu de place à l’interprétation : la perpétuation des violences envers les femmes représente encore aujourd’hui l’un des principaux enjeux et obstacles pour l’émancipation des femmes. -----</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p style="text-align: justify;">La violence conjugale Dans le cadre de la campagne des 12 jours contre la violence faite aux femmes, la TCGFM dénonce plus particulièrement la violence conjugale. Actuellement, il existe un courant de pensée qui affirme que la violence conjugale s’inscrit dans une « dynamique de couple », cette affirmation suppose donc que les victimes seraient coresponsables de leur situation. Cette redéfinition de la « violence conjugale » propose aussi qu’aujourd’hui, les comportements violents des conjoints ne s’inscriraient plus dans une volonté de domination et de contrôle des femmes.</p>
<p style="text-align: justify;">La TCGFM souhaite réitérer que les mères, les jeunes femmes et les femmes issues des minorités sont toujours les premières victimes de la violence conjugale au Québec. Selon les données du Ministère de la Sécurité publique (MSP), près de 80% des victimes sont des femmes. Les victimes féminines font aussi face à des violences de plus grande sévérité. Selon le MSP, elles représentent 100% des victimes d’enlèvement, 97% des victimes d’agression sexuelle et de séquestration, 91% des victimes d’intimidation et 88% de victimes de voie de fait grave et la majorité des victimes d’homicide survenu en contexte conjugal.</p>
<p style="text-align: justify;">De 2013 à 2015, les violences commises en contexte conjugal ont continué de croître en Montérégie (hausse de 3%) et le portrait des victimes demeure toujours le même. La TCGFM reconnait l’existence des hommes qui vivent de la violence dans le cadre de relations amoureuses et intimes ainsi que les effets dévastateurs de ces violences sur les hommes. Elle estime toutefois qu’il est tout à fait injustifié de changer la définition même du concept de violence conjugale au profit d’une approche qui nie l’évidence : les agresseurs continuent d’être majoritairement des hommes et les victimes, des femmes.</p>
<p style="text-align: justify;">Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif. En misant sur l’expertise diversifiée de ses membres, la TCGFM oriente ses actions vers l’amélioration des conditions socioéconomique, culturelle et politique des femmes. Elle travaille dans une perspective de défense des droits et d’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes.</p>
<p>Source : Linda Crevier, directrice générale de la TCGFM</p>
<p>Téléphone : 514-562-2436 Courriel : dg@tcgfm.qc.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Nov', 'jour' => '29', 'annee' => '2018', 'date' => '29 Novembre 2018', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => null, 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'OFFRE D’EMPLOI : Agente de projet : Plus de femmes en politique? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés!', 'intro' => '<p><strong>TABLE DE CONCERTATION DES GROUPES DE FEMMES DE LA MONTÉRÉGIE :</strong></p>
<p>Notre mission est de créer une solidarité régionale entre les groupes de femmes de la Montérégie. En misant sur l’expertise diversifiée de ses membres, la TCGFM oriente ses actions vers l’amélioration des conditions socioéconomique, culturelle et politique des femmes. Elle travaille dans une perspective de défense des droits et d’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p><strong>SOMMAIRE DU POSTE ET RESPONSABILITÉS:</strong></p>
<p>Sous la responsabilité de la directrice générale de la TCGFM, l’agente de projet assumera les tâches suivantes :</p>
<p> </p>
<p style="margin-left:8.8px">Assurer la poursuite des actions du projet <em>Plus de femmes en politique? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés!</em> ayant débuté en 2017. Dans le cadre de ce projet, la TCGFM travaille avec ses partenaires à interpeller les médias ainsi que les instances municipales de manière à accroître la voix et l’influence des femmes dans la vie politique au Québec. Le projet présente 6 activités, soient :</p>
<p style="margin-left:8.8px"> </p>
<p style="margin-left:65.8px">o Développement et consolidation de partenariats intersectoriels ;</p>
<p style="margin-left:65.8px">o Mise en œuvre de pistes de solutions identifiées dans les études des représentations médiatique ;</p>
<p style="margin-left:65.8px">o Développement de laboratoires de pratiques dans la région afin d’intégrer les axes prioritaires ciblés ;</p>
<p style="margin-left:65.8px"><a name="_gjdgxs"></a>o Diffusion, promotion et appropriation des axes prioritaires identifiés et des stratégies d’intervention expérimentées ;</p>
<p style="margin-left:65.66px">o Développer différents outils en lien avec le projet ;</p>
<p style="margin-left:65.8px">o Effectuer les relations de presse nécessaires à l’avancement des dossiers.</p>
<p style="margin-left:32.86px"> </p>
<p style="margin-left:9.46px">L’agente de projet aura aussi l’occasion d’approfondir ses connaissances sur le mouvement des femmes et de participer à la gestion féministe de l’organisme.</p>
<p> </p>
<p><strong>EXIGENCES DU POSTE :</strong></p>
<p style="margin-left:32.86px">- Compréhension des enjeux liés aux femmes selon une analyse féministe intersectionnelle ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Posséder une formation universitaire dans un domaine relié ainsi qu’une expérience pertinente ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Maîtrise de la suite Microsoft Office ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Bonne connaissance du Web 2.0 et les médias sociaux ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Pouvoir se déplacer sur tout le territoire de la Montérégie (accès à une voiture essentiel).</p>
<p> </p>
<p> </p>
<p><strong>HABILETÉS REQUISES :</strong></p>
<p style="margin-left:32.86px">- Très bonne capacité d’analyse, de rédaction et de synthèse ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Posséder de bonnes habiletés en communications orales et écrites ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Être autonome tout en ayant de bonnes aptitudes pour le travail d’équipe ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Être créative et intéressée par la question de l’accès des femmes au pouvoir ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Être capable de gérer plusieurs dossiers à la fois et de gérer les priorités ;</p>
<p> </p>
<p><strong>REMARQUES :</strong></p>
<p style="margin-left:32.86px">- Entrée en poste : Flexible ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Durée du contrat : Un (1) an, renouvelable ;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Horaire : 30 h/semaine;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Rémunération : Selon la politique salariale en vigueur, avantages sociaux après 6 mois;</p>
<p style="margin-left:32.86px">- Lieu de travail : Longueuil.</p>
<p style="margin-left:32.86px"> </p>
<p> </p>
<p>Faire parvenir votre curriculum vitae et une lettre de motivation au plus tard le lundi 7 décembre 2018 à minuit à l’adresse courriel suivante : admin@tcgfm.qc.ca. Seules les candidates retenues en entrevue seront contactées. Les entrevues auront lieu dans la semaine du 10 décembre 2018.</p>
<p style="margin-left:32.86px"> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Nov', 'jour' => '17', 'annee' => '2018', 'date' => '17 Novembre 2018', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => null, 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'La parité en Montérégie, mais qu’en est-il de l’égalité de fait entre les femmes et les hommes?', 'intro' => '<p><strong>Longueuil, le 4 octobre 2018</strong> – En cette semaine postélectorale, les groupes membres de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) se sont réunis ce mercredi 3 octobre pour faire le point sur la campagne électorale qui a pris fin le 1 er octobre dernier. Les déléguées rassemblées ont salué l’élection d’une majorité (52%) de députées en Montérégie. En effet, avec 12 élues parmi les 23 circonscriptions de la région administrative, les femmes montérégiennes seront représentées à l’Assemblée nationale du Québec par un ensemble paritaire de députéEs.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Ceci étant dit, les groupes de femmes ont tout de même exprimé leurs inquiétudes devant l’absence notable des enjeux de condition féminine au cours de la campagne électorale. Dans une année marquée par #MoiAussi et par l’émergence d’une réflexion collective sur les violences sexuelles perpétrées envers les femmes, les groupes de femmes déplorent d’autant plus le silence des principaux partis à cet égard. En outre, ces derniers ont manqué à de nombreuses reprises l’occasion de souligner quels seraient les impacts spécifiques de leurs propositions sur les femmes.</p>
<p>Les priorités des femmes ont pourtant été soulevées dans toutes les régions de même que par plusieurs regroupements nationaux. En Montérégie, à travers la plateforme <a href="http://tcgfm.qc.ca/download/TCGFM_Plateforme_Les%20femmes_sont_POLITIQUE.pdf">Les femmes sont POLITIQUE</a>, les groupes de femmes ont mis de l’avant plusieurs mesures qui permettraient, dans un premier temps, d’améliorer concrètement la vie des femmes (hausse du salaire minimum, abolition des catégories à l’aide sociale, construction de 50 000 logements sociaux) et, dans un deuxième temps, d’assurer la mise en place des conditions nécessaires à l’atteinte d’une égalité réelle entre les femmes et les hommes (reconnaissance de l’expertise des groupes de femmes, création d’un ministère de la condition féminine, utilisation de l’analyse intersectionnelle et différenciée selon les sexes).</p>
<p>Le jour du scrutin a peine terminé, les groupes de femmes de la Montérégie travaillent déjà avec détermination et de manière concertée afin de remettre à l’avant-plan de l’agenda politique québécois l’égalité entre les femmes et les hommes. « N’attendons pas les prochaines élections pour proposer des politiques qui viendront faire une vraie différence et permettront enfin d’atteindre une égalité de fait entre les femmes et les hommes! », affirme Linda Crevier, directrice générale de la TCGFM.</p>
<p>Rappelons que la TCGFM est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de la région sur les plans économique, politique et social.</p>
<p>Liste des membres :<br />
- Abri Rive-Sud - Maison Élizabeth Bergeron<br />
- L’Accueil pour Elle<br />
- APTS CISSS Montérégie-Est<br />
- APTS CISSS Montérégie-Ouest<br />
- C.A.L.A.C.S. Châteauguay<br />
- C.A.L.A.C.S. La Vigie<br />
- Carrefour pour Elle<br />
- Centre de femmes Com’Femme<br />
- Centre D’Main de femmes<br />
- Centre de femmes du Haut-Richelieu<br />
- Centre de femmes L’Éclaircie<br />
- Centre de femmes Entre Ailes Ste-Julie<br />
- Centre de femmes L’Essentielle<br />
- Centre des femmes de Longueuil<br />
- CISSS Montérégie-Est - RLS Pierre-Boucher<br />
- La Clé sur la Porte<br />
- Coalition des femmes de la MRC les Maskoutains (CO-FEMM)<br />
- Inform’elle<br />
- Maison de la Paix - La Chaumière<br />
- Maison d’hébergement et de transition l’Égide<br />
- Maison Hina<br />
- Maison Simonne-Monet-Chartrand<br />
- Musée de la femme<br />
- Options sans limite - Place à l’emploi<br />
- Pavillon Marguerite de Champlain<br />
- Quartier des femmes<br />
- Ressources-Femmes de la région d’Acton<br />
- Syndicat de la fonction publique du Québec</p>
<p>-30-</p>
<p>Source :</p>
<p>Linda Crevier, directrice générale de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</p>
<p>Téléphone : 514-562-2436</p>
<p>Courriel : dg@tcgfm.qc.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Oct', 'jour' => '11', 'annee' => '2018', 'date' => '11 Octobre 2018', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array('Gouvernement', 'Montérégie', 'National', 'Provincial', 'Parité', 'Égalité'), 'cover' => 'P1070620.JPG', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array('Gouvernement' => '5', 'Montérégie' => '7', 'National' => '8', 'Provincial' => '9', 'Parité' => '11', 'Égalité' => '10')), array('titre' => 'Dévoilement d’études à l’UQAM : Plus de femmes en politique : qu’en est-il de la couverture médiatique des politiciennes?', 'intro' => '<p>Le 19 septembre 2018 – C’est aujourd’hui qu’a eu lieu le <a href="https://www.facebook.com/TableFemmesMonteregie/videos/485370358629458/">dévoilement de deux études complémentaires,</a> réalisées dans le cadre du projet <a href="http://tcgfm.qc.ca/projets/3"><em>Plus de femmes en politique? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés !</em></a> L’événement s’est déroulé en présence de plusieurs membres des milieux universitaire, communautaire et politique, dont la rectrice de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Mme Magda Fusaro, et la conseillère associée à la mairesse et élue de ville dans Ville-Marie, Mme Sophie Mauzerolle.</p>
<p>Communiqué originellement publié dans la <a href="https://salledepresse.uqam.ca/communiques-de-presse/general/11650-devoilement-d-etudes-a-l-uqam-plus-de-femmes-en-politique-qu-en-est-il-de-la-couverture-mediatique-des-politiciennes">salle de presse de l'UQAM</a>.</p>
', 'sous_titre' => 'Moins de femmes en politique, encore moins dans les médias', 'contenu' => '<p>Dans l’étude Les représentations médiatiques des femmes aux élections municipales, réalisée par des chercheuses de l’UQAM, soutenues par la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) et le Service aux collectivités (SAC) de l’UQAM, 1110 articles de la presse écrite et de médias communautaires écrits francophones du Québec ont été recensés. L’objectif était de mieux comprendre dans quelle mesure et de quelles manières les candidates aux postes de mairesses et de conseillères de ville ont été représentées dans les médias lors des dernières élections municipales en 2017.</p>
<p>Les chercheuses observent que l’espace médiatique occupé par les hommes est disproportionné par rapport à celui occupé par les femmes. De plus, une analyse qualitative de la couverture des candidates permet de constater que l’accent a été mis sur les qualités et les capacités traditionnellement féminines de celles-ci. Selon les chercheuses, cela a contribué à reproduire des stéréotypes de genre et à perpétuer des attentes différenciées envers les candidates et les candidats.</p>
<p>Consultez <a href="http://tcgfm.qc.ca/download/Representations_Mediatiques_Femmes_Elections_Municipales_Rapport.pdf" rel="noopener" target="_blank">l’étude</a></p>
<p><strong>Journaux universitaires : des représentations genrées équilibrées</strong> <br />
Dans l’étude La politique vue par les journaux étudiants universitaires québécois : des représentations genrées équilibrées, menée par des chercheuses de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), soutenues par la Table de concertation des groupes de femmes de la Mauricie (TCMFM) et le Groupe des médias étudiants (GME) de l’UQTR, 400 documents ont été analysés afin de mieux comprendre la représentation des femmes impliquées tant en politique municipale qu’en politique étudiante et universitaire, entre 2011 et 2017.</p>
<p>Les chercheuses concluent que le genre influence peu la couverture faite par les médias étudiants. Toutefois, certaines représentations de leadership véhiculées au sein des articles analysés reproduisent parfois des attentes stéréotypées envers les femmes. En outre, des différences de traitement ont été observées, notamment lorsqu’il y a personnalisation des conflits interpellant des femmes politiques. Ces dernières recevant à ces occasions des critiques plus personnelles et plus virulentes.</p>
<p>Consultez le sommaire de <a href="http://tcgfm.qc.ca/download/Representations-Mediatiques-Femmes-Politiques-Sommaire.pdf" rel="noopener" target="_blank">l’étude</a></p>
<p><strong>Des pistes de solutions à identifier en collaboration avec le milieu journalistique</strong><br />
Ces études complémentaires dessinent un portrait nuancé de la couverture médiatique des politiciennes. Pour aller de l’avant, en plus d’identifier les bons coups des médias en matière de représentations des femmes, les chercheuses proposent des recommandations au milieu journalistique. En effet, de concert avec les médias, la TCGFM, la TCMFM, le GME de même que la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent, partenaire de ce projet, souhaitent trouver des pistes de solutions pour un traitement neutre et égalitaire des femmes qui participent à la vie politique de leur communauté.</p>
<p>Ce projet, financé par Condition féminine Canada, se poursuivra jusqu’en 2020. Les activités prévues cet automne permettront d’entamer un dialogue avec les membres des médias. Au menu, un événement provincial à l’attention des journaux universitaires du Québec ainsi que des participations au congrès de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) et à un 6 à 8 de l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ).</p>
<p>Renseignements et demandes d’entrevues : Anik Veilleux, conseillère en relations de presse, UQAM, 514 987-3000, poste 5184, <a href="mailto:veilleux.anik@uqam.ca">veilleux.anik@uqam.ca</a></p>
<p> </p>
<p>-30 -</p>
<p><strong>Sources :</strong></p>
<p>Joanne Blais<br />
Directrice, Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie (TCMFM)<br />
819-386-2191<br />
info@tcmfm.ca</p>
<p>David Ferron<br />
Directeur général, Groupe des médias étudiants (GME) de l’UQTR<br />
819-269-3885<br />
dg.cfou@uqtr.ca</p>
<p>Audrey Gosselin Pellerin<br />
Agente de projet, Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM)<br />
514-222-5268<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
<p>Brigitte Michaud<br />
Coordonnatrice, Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent (TCGFBSL)<br />
418-556-6051<br />
tcgfbsl@gmail.com</p>
<p>Anik Veilleux<br />
Conseillère en relations de presse, Division des relations avec la presse et événements spéciaux<br />
Service des communications, UQAM<br />
Tél. : 514 987-3000, poste 5184<br />
<a href="mailto:veilleux.anik@uqam.ca">veilleux.anik@uqam.ca </a><br />
www.salledepresse.uqam.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Sep', 'jour' => '19', 'annee' => '2018', 'date' => '19 Septembre 2018', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => 'Plus-de-femmes-en-politique-logo (2).jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'ÉLECTIONS PROVINCIALES 2018 - La plateforme « Les femmes sont POLITIQUE » est lancée!', 'intro' => '<p>Longueuil, le 10 septembre 2018 - Au cours des derniers mois, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) a travaillé à l’élaboration d’une plateforme composée de douze revendications politiques féministes représentant les priorités régionales.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Dans le cadre de deux consultations estivales, la trentaine d’organisations membres ont contribué à l’identification des enjeux prioritaires touchant les femmes de la Montérégie. Sous le thème « Les femmes sont POLITIQUE », les membres ont souhaité réitérer l’importance de la présence des femmes dans ce domaine, mais elles ont surtout souhaité rappeler aux candidatEs que l’égalité n’est toujours pas atteinte et que les Montérégiennes sont mobilisées afin de faire avancer les conditions de vie des femmes sur le territoire ainsi que dans le reste de la province. </p>
<p>La TCGFM est d’avis qu’il est primordial que les candidatEs reconnaissent l’importance d’adopter des mesures spécifiques concernant les femmes afin que l’égalité de fait advienne. Les propositions touchent un éventail de sujets allant de l’amélioration des services publics offerts en santé mentale à la construction de 50 000 nouveaux logements sociaux en passant par la hausse du salaire minimum à 15$/heure.</p>
<p>Linda Crevier, directrice générale de la TCGFM, souhaite que les candidatEs du territoire montérégien se positionnent par rapport à cette plateforme de revendications : « Les divers partis politiques doivent s’assurer que leurs propositions à la population intègrent des actions concrètes pour les femmes. »</p>
<p>Surveillez la <a href="https://www.facebook.com/TableFemmesMonteregie/">page Facebook de la TCGFM</a> pour la vidéo des revendications des membres.</p>
<p>Rappelons que la <a href="http://tcgfm.qc.ca/">TCGFM </a>est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de la région sur les plans économique, politique et social.</p>
<p>-30-</p>
<p>Source :</p>
<p>Linda Crevier, directrice générale de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</p>
<p>Téléphone : 514-562-2436</p>
<p>Courriel : info@tcgfm.qc.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Sep', 'jour' => '10', 'annee' => '2018', 'date' => '10 Septembre 2018', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => 'TCGFM_Plateforme Les femmes sont POLITIQUE-1.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Candidatures électorales : la Montérégie en zone paritaire!', 'intro' => '<p>La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) a compilé les candidatures investies en Montérégie auprès des 4 partis politiques représentés à l'Assemblée nationale. Le résultat? En date du 28 août 2018, les femmes constituent 50% des candidatures confirmées en Montérégie! Examinez ici la répartition des candidatures selon le parti et selon le genre.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Restez à l'affût, la TCGFM dévoilera prochainement la plateforme de revendications politiques féministes des groupes de femmes de la Montérégie!</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Aoû', 'jour' => '28', 'annee' => '2018', 'date' => '28 Août 2018', 'category' => 'Actualités', 'tags' => array('Parité', 'Montérégie'), 'cover' => 'Graphique - Candidatures en Montérégie 28-08-2018.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '6', 'tag_ids' => array('Parité' => '11', 'Montérégie' => '7')), array('titre' => 'Offre d'emploi - Agente de projet CEF+ (nouvel affichage)', 'intro' => '<h1>Description du projet :</h1>
<p> </p>
<p style="margin-left:12.35pt">Sous la responsabilité de la directrice générale de la TCGFM, l’agente de projet sera responsable de coordonner les actions du projet <em>Conciliation Emploi-Famille…Plus (CEF+)</em>. L’analyse différenciée selon les sexes (ADS+) a été identifiée comme un moyen privilégié d’atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes en assurant que les actions entreprises répondent aux besoins en toute équité et dans une perspective intersectionnelle. En résumé, ce projet a pour objectif de responsabiliser le milieu des OSBL en tant que facilitateurs de CEF+ et nourrir une transformation de la culture organisationnelle au profit d’une approche qui reconnaît le travail invisible des femmes et l’importance d’une articulation saine entre les sphères professionnelles et personnelles. En outre, le projet vise à offrir des ressources, un accompagnement et une certification aux organismes souhaitant adopter ou améliorer leur politique de CEF+.</p>
', 'sous_titre' => 'Fonctions et responsabilités :', 'contenu' => '<div>
<p style="margin-left:12.35pt">À travers ce projet, l’agente sera appelée à consulter le milieu des OSBL sur les pratiques de conciliation emploi-famille existantes. Elle aura à développer des outils et organiser un colloque de sensibilisation à la CEF+ intégrant l’analyse différenciée selon les sexes. Ces démarches seront consolidées par une tournée de sensibilisation au sein des OSBL afin de vulgariser les différentes étapes du processus d’intégration d’une politique de CEF+. En outre, l’agente aura à mobiliser et accompagner des organismes dans l’élaboration et l’intégration de la politique de même que l’adoption de nouvelles mesures de conciliation emploi-famille+. Elle collaborera à la certification CEF+ des OSBL et à l’évaluation des retombées des politiques sur l’articulation des sphères professionnelles et familiales des travailleuses. Enfin, l’agente assurera la tenue d’un forum CEF+ mettant en évidence les bonnes pratiques de CEF+ adoptées dans le cadre du projet et mettant en valeur les OSBL qui ont intégré la CEF+ dans une perspective d’égalité entre les femmes et les hommes.</p>
<h1>Description des tâches :</h1>
<ul>
<li>Mobiliser les milieux communautaires et des OBSL à participer aux différentes étapes du projet;</li>
<li>Faire le lien entre et avec les différents partenaires du projet;</li>
<li>Planifier des séances de travail du comité de gestion du projet;</li>
<li>Élaborer les modalités de consultation des OSBL de la région;</li>
<li>Développer différents outils de sensibilisation et d’accompagnement en lien avec le projet;</li>
<li>Organiser des activités destinées aux milieux communautaires afin de démystifier la CEF+ et le rôle des employeurs dans cette démarche;</li>
<li>Accompagner des groupes dans le processus de mise en place de politiques CEF+;</li>
<li>Coordonner l’évaluation du projet, la production des rapports et les redditions de compte;</li>
<li>Participer à toute autre tâche liée au plan d’action de l’organisme et à son bon fonctionnement.</li>
</ul>
<h1>Exigences et conditions de travail</h1>
<ul>
<li>Baccalauréat dans une discipline appropriée au poste : sociologie, travail social, sciences humaines, relations de travail, études féministes;</li>
<li>Posséder une formation ainsi qu’une expérience, pertinentes;</li>
<li>Compréhension des enjeux liés aux femmes selon une analyse féministe intersectionnelle;</li>
<li>Être capable de gérer plusieurs dossiers à la fois et savoir gérer les priorités;</li>
<li>Bonne expérience en animation</li>
<li>Excellentes habiletés en communications orales et écrites;</li>
<li>Être autonome tout en ayant de bonnes aptitudes pour le travail d’équipe;</li>
<li>Connaissance du territoire de la Montérégie et du mouvement des femmes un atout;</li>
<li>Excellente maîtrise de la suite Microsoft Office;</li>
<li>Pouvoir se déplacer sur tout le territoire de la Montérégie (accès à une voiture essentiel).</li>
</ul>
</div>
<h1>Conditions de travail</h1>
<ul>
<li>L’entrée en fonction : fin août 2018.</li>
<li>Contrat de deux ans avec possibilité de renouvellement</li>
<li>Poste de 28 heures par semaine, avec assurances collectives et régime de retraite</li>
<li>Rémunération : à partir de 23$/h selon la politique salariale en vigueur.</li>
<li>Lieu de travail : Longueuil</li>
</ul>
<p style="margin-left:5.3pt">Faire parvenir votre curriculum vitae et une lettre de motivation au plus tard le 6 août 2018 à minuit à l’adresse courriel suivante : <a href="mailto:admin@tcgfm.qc.ca">admin@tcgfm.qc.ca. </a>Nous remercions toutes les candidates qui nous enverront leur CV, cependant seules celles retenues pour une entrevue seront contactées.</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '26', 'annee' => '2018', 'date' => '26 Juin 2018', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => 'Logo CEF+-1.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Fausse inauguration d’un logement social : les groupes communautaires revendiquent pour les femmes locataires', 'intro' => '<p>Vendredi midi, en face de la station de métro de Longueuil, des groupes communautaires ont convié les éluEs, les médias et les citoyenNEs à l’inauguration des Habitations Solidaires, du logement social pour les femmes locataires à faible revenu. Or, arrivées sur les lieux, les personnes conviées à cet événement ont vite réalisé qu’il s’agissait d’un canular. Aucun projet de développement de nouvelles unités de logement social n’a été annoncé pour le futur centre-ville de Longueuil. Les groupes sur place ont plutôt profité de l’occasion pour exposer les réalités vécues par les femmes locataires et leurs besoins criants en matière de nouvelles unités de logement social pour les mères et les femmes seules.</p>
', 'sous_titre' => 'Manque flagrant d’unités de logement social', 'contenu' => '<p>Cette action politique locale a été organisée par le Carrefour pour Elle, le Pavillon Marguerite de Champlain, le Centre des Femmes de Longueuil, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie, le Comité logement Rive-Sud et la Maison La Virevolte. En organisant cette inauguration, où même un faux maire avait été convié, les groupes voulaient signifier le manque flagrant d’unités de logement social et l’absence de réserves de terrains et de bâtiments dans les nouveaux développements envisagés par les villes de l’agglomération de Longueuil. À tour de rôle, plusieurs intervenantes du milieu ont pris la parole afin d’exposer la situation vécue par les femmes locataires.</p>
<p>En se basant sur l’enquête nationale sur les ménages de 2011, Marjolaine Tapin du Comité logement Rive-Sud a mentionné : <em>« Nous ne pouvons pas ignorer les statistiques qui démontrent que les femmes sont plus touchées par les problèmes de logement. Par exemple, 41,1 % des ménages locataires longueuillois ayant une femme comme principal soutien financier consacrent 30 % et plus de leur revenu pour se loger comparativement 33,7 % quand le principal soutien est un homme. ». </em></p>
<p>Par la suite, Rachel Fortin du Pavillon Marguerite de Champlain a souligné l’importance pour les femmes victimes de violence d’avoir accès à du logement social. Elle a déclaré : <em>« </em><em>Le fait d’avoir des conditions économiques adéquates et sécuritaires, permet aux femmes de se sortir de leur condition de vulnérabilité et de rompre avec le cycle de la violence conjugale. ». </em>L’absence de logement et de revenu adéquat serait des causes explicatives d’un éventuel retour chez un conjoint violent.</p>
<p>Pour Audrey Gosselin Pellerin de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie, <em>« </em><em>Le logement social, c’est l’opportunité d’avoir un toit abordable et sécuritaire pour une maman monoparentale vivant dans un logement insalubre et trop petit pour sa famille, pour une femme immigrante payant un loyer plus cher parce que le propriétaire d’un autre logement l’a discriminée sur la base de son origine ethnique, pour une femme qui doit changer d’appartement parce que son colocataire la harcelait, pour une femme prise à couchsurfer chez une amie, puis une autre, afin d’éviter la rue ».</em></p>
<p>Continuant sur sa lancée, Audrey Gosselin Pellerin a affirmé : <em>« La pauvreté a plusieurs visages et ceux-ci sont de plus en plus féminins, il est urgent que nos éluEs améliorent l’accès au logement social afin de pallier aux inégalités systémiques qui touchent les femmes et leur offrir l’opportunité d’améliorer leurs conditions de vie et de développer leur plein potentiel au sein de notre société ».</em></p>
<p>Finalement, des participantes du Centre d’éducation et d’action des femmes de Montréal ont réalisé une mise en scène théâtrale afin de représenter les rapports de pouvoir et les comportements violents qui persistent entre les propriétaires et le les femmes locataires. Une locataire a aussi témoigné pour expliquer comment son loyer, dans une coopérative d’habitation subventionnée, a été une planche de salut pour sortir de la dynamique de violence conjugale dans laquelle elle était et pour reprendre du pouvoir sur sa vie petit à petit.</p>
<p>Rappelons que cette action a été organisée dans la foulée des préparations pour la marche « De villes en villages pour le droit au logement » organisée par le FRAPRU qui aura lieu à l’automne prochain. Plusieurs personnes parcourront à pied la distance entre Ottawa et Québec afin de promouvoir l’importance du logement social au Québec. Comme le rappelle Déric Noël-Lagacé, intervenant communautaire à la Maison La Virevolte, «<em> [l]a grande Marche de villes en villages pour le droit au logement n’est pas qu’une simple marche de santé, mais bien une initiative populaire d’envergure, tout en étant une première comme type d’action militante pour le droit au logement ! </em>». Les LongueuilloisEs seront invitéEs à un rassemblement lors de son passage à Longueuil le 15 septembre prochain.</p>
<p>-30-</p>
<p><strong>Marie-Christine Plante</strong><strong>, 514-774-7620, </strong><a href="mailto:formation@carrefourpourelle.org">formation@carrefourpourelle.org</a></p>
<p><strong>Marco Monzon, </strong><strong>438-822-2792,</strong> <a href="mailto:marco.monzon@comite-logement.org">marco.monzon@comite-logement.org</a></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '13', 'annee' => '2018', 'date' => '13 Juin 2018', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array('Pauvreté', 'Itinérance'), 'cover' => '1528906039-2_24.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array('Pauvreté' => '3', 'Itinérance' => '2')), array('titre' => 'La TCGFM vous présente son nouveau conseil d'administration', 'intro' => '<p>Longueuil, le 11 juin 2018 – Le 6 juin dernier avait lieu l’assemblée générale annuelle de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie. Les groupes membres des quatre coins de la Montérégie ont assisté à l’évènement qui avait lieu au Centre de femmes de Longueuil. Lors de cette assemblée, les membres ont adopté les états financiers en date du 31 mars 2018, le rapport annuel d’activités 2017-2018, le plan d’action 2018-2019 et ont reçu les prévisions budgétaires pour l’année 2018-2019. </p>
', 'sous_titre' => 'Suite aux élections des administratrices, la TCGFM est fière de vous présenter son nouveau conseil d’administration :', 'contenu' => '<p><strong>Carolle Mathieu, présidente </strong>- Centre de femmes du Haut-Richelieu<br />
<strong>Nancy Ménard, vice-présidente </strong>- Centre de femmes Entre Ailes Ste-Julie<br />
<strong>Nathaly Lecours, trésorière </strong>- Syndicat de la fonction publique du Québec<br />
<strong>Martine Laprade, secrétaire </strong>- Inform’elle <br />
<strong>Julie Syratt, administratrice </strong>– Options sans limite / Place à l’emploi</p>
<p>La TCGFM remercie chaleureusement les administratrices sortantes pour leur contribution au développement de la TCGFM au cours de leur mandat, soit Maria Anney (Centre des femmes de Longueuil) et Marie-Christine Plante (Carrefour pour Elle).</p>
<p> </p>
<p><strong>Montérégie : </strong></p>
<p> </p>
<p>La <a href="http://tcgfm.qc.ca/">Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</a> est un regroupement d’organismes sans but lucratif, fondé en 1988, qui a pour mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social. Elle travaille dans une perspective de défense de droits et d’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes.</p>
<p> </p>
<p>Source :</p>
<p>Audrey Gosselin Pellerin</p>
<p>Agente de projet, Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM)</p>
<p>Téléphone : 450.671.5095</p>
<p>Courriel : <a href="mailto:info@tcgfm.qc.ca">info@tcgfm.qc.ca</a></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '11', 'annee' => '2018', 'date' => '11 Juin 2018', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => '1528733743-Logo_TCGFM_Long 3.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Offre d'emploi - Agente de projet', 'intro' => '<p>La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie - un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social - est à la recherche d'une personne ayant la volonté d'assumer les responsabilités inhérentes au poste d'agente de projet. Il s'agit d'un contrat d'une durée de 24 mois, avec possibilité de renouvellement.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p style="text-align: center;"><strong>AGENTE DE PROJET</strong></p>
<p style="text-align: center;"><em>Conciliation Emploi-Famille…Plus (CEF+)</em></p>
<h2><span style="font-size:14px"><strong>Fonctions et responsabilités :</strong></span></h2>
<p style="margin-left:7.1pt">Sous la responsabilité de la directrice générale de la TCGFM, l’agente de projet sera responsable de coordonner les actions du projet <em>Conciliation Emploi-Famille…Plus (CEF+)</em>. L’ajout de l’analyse différenciée selon les sexes (ADS) a été identifié comme un moyen privilégié pour atteindre l’égalité entre les femmes et les hommes afin de s’assurer que les actions entreprises répondent aux besoins en toute équité. En résumé, ce projet a pour objectif de responsabiliser le milieu des OSBL en tant que facilitateurs de CEF+ et nourrir une transformation de la culture organisationnelle au profit d’une approche qui reconnaît le travail invisible des femmes et l’importance d’une articulation saine entre les sphères professionnelles et personnelles. En outre, le projet vise à offrir des ressources, un accompagnement et une certification aux organismes souhaitant adopter ou améliorer leur politique de CEF+.</p>
<p> </p>
<p><strong>Description des tâches : </strong></p>
<ul style="list-style-type:circle">
<li>Faire le lien entre et avec les différents partenaires du projet;</li>
<li>Planifier des séances de travail du comité de gestion du projet;</li>
<li>Rechercher et développer des contacts avec des groupes;</li>
<li>Élaborer un formulaire de consultation auprès des OSBL de la région;</li>
<li>Développer différents outils en lien avec le projet;</li>
<li>Organiser des activités destinées aux milieux communautaires afin de démystifier la CEF+ et le rôle des employeurs dans cette démarche;</li>
<li>Accompagner des groupes dans le processus de mise en place de politiques CEF+;</li>
<li>Coordonner l’évaluation du projet et la production des rapports et les redditions de compte;</li>
<li>Participer à toute autre tâche liée au plan d’action de l’organisme et à son bon fonctionnement.</li>
</ul>
<p><strong>Exigences et conditions de travail</strong></p>
<ul style="list-style-type:circle">
<li>Baccalauréat dans une discipline appropriée au poste : sociologie, économie, relations de travail, travail social, sciences humaines, études féministes;</li>
<li>Posséder une formation ainsi qu’une expérience, pertinentes;</li>
<li>Excellente maîtrise de la suite Microsoft Office;</li>
<li>Compréhension des enjeux liés aux femmes selon une analyse féministe intersectionnelle;</li>
<li>Être capable de gérer plusieurs dossiers à la fois et de gérer les priorités;</li>
<li>Posséder de bonnes habiletés en communications orales et écrites;</li>
<li>Être autonome tout en ayant de bonnes aptitudes pour le travail d’équipe;</li>
<li>Connaissance du territoire de la Montérégie et le mouvement des femmes un atout;</li>
<li>Pouvoir se déplacer sur tout le territoire de la Montérégie (accès à une voiture essentiel).</li>
</ul>
<p><strong>Conditions de travail </strong></p>
<ul>
<li>L’entrée en fonction est à déterminer</li>
<li>Contrat de deux ans avec possibilité de renouvellement</li>
<li>Poste de 28 heures par semaine, avec assurances collectives et régime de retraite</li>
<li>Rémunération : à partir de 23$/h selon la politique salariale en vigueur.</li>
<li>Lieu de travail : Longueuil</li>
</ul>
<p>Faire parvenir votre curriculum vitae et une lettre de motivation au plus tard le 18 mai 2018 à minuit à l’adresse courriel suivante : admin@tcgfm.qc.ca. Nous remercions toutes les candidates qui nous enverront leur CV, cependant seules celles retenues pour une entrevue seront contactées. </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Mai', 'jour' => '08', 'annee' => '2018', 'date' => '08 Mai 2018', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1525786969-Logo CEF+.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Parité femmes-hommes : Les élues municipales identifient des pistes de solutions!', 'intro' => '<p><strong>Longueuil, le 3 mai 2018 </strong>– La <a href="http://tcgfm.qc.ca/">Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</a>, la <a href="http://www.femmes-bsl.qc.ca/fr/index.html">Table de concertation de groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent</a>, la <a href="http://www.tcmfm.ca/">Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie</a> sont fières d’annoncer les résultats des rencontres menées auprès d’élues et d’anciennes élues municipales de même que des personnes-clés des milieux politiques et municipaux. Au terme des 18 rencontres tenues dans les trois régions participantes, les discussions avec les 137 femmes consultées ont confirmé la présence d’obstacles systémiques posant un frein à la pleine participation de toutes les femmes à la politique municipale.</p>
', 'sous_titre' => 'Un climat de travail parfois difficile', 'contenu' => '<p>En effet, plusieurs élues ayant rejoint un conseil municipal majoritairement et historiquement masculin ont eu à composer avec un climat de travail parfois difficile (commentaires désobligeants, blagues et préjugés sexistes, intimidation) et axé sur la confrontation plutôt que sur la recherche de compromis ou de consensus.</p>
<p><strong>Triple travail</strong></p>
<p>En outre, pour de nombreuses femmes, les difficultés de conciliation du rôle d’élue avec leur autre emploi et leur famille constituent un obstacle majeur. De fait, le fardeau des responsabilités familiales et domestiques ­– et la charge mentale qui l’accompagne – incombe encore principalement aux femmes. Par conséquent, elles ont moins de temps et d’énergie à consacrer à la vie politique de leur municipalité.</p>
<p>Ainsi, si on parle parfois de double travail chez les femmes qui détiennent un emploi rémunéré et assument les responsabilités familiales et domestiques, l’implication politique des femmes au sein des petites municipalités signifie pour ces conseillères et mairesses l’accumulation d’un triple travail.</p>
<p><strong>Des pistes de solutions basées sur leurs expériences</strong></p>
<p>À travers ces rencontres, les femmes rencontrées ont dégagé de nombreuses pistes de solutions : mise en place de campagnes de sensibilisation du rôle des éluEs et de programmes de mentorat, adoption et affichage d’un code de conduite, offre de formation d’animation de séances et de prise de parole, remboursement des frais de garde, participation à distance et amélioration de l’efficacité des réunions et des séances.</p>
<p>Ces idées permettront aux partenaires du projet de développer des stratégies qui viseront à aplanir certains obstacles relatifs à la conciliation travail-famille-implication, au climat et à la structure du travail des éluEs qui rendent la participation des femmes en politique municipale plus difficile. Au cours de la prochaine année, ces stratégies seront mises à l’essai dans le cadre de laboratoires de pratiques qui se dérouleront dans des municipalités du Bas-Saint-Laurent.</p>
<p>Le projet <a href="http://tcgfm.qc.ca/projets/3"><strong><em>Plus de femmes en politique ? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés !</em></strong></a>, réalisé grâce au financement de Condition féminine Canada, se poursuit jusqu’en 2020. « Nous avons très hâte de partager les résultats des solutions testées dans le Bas du Fleuve avec les municipalités de la Montérégie. En travaillant de concert avec les instances municipales afin d’éliminer les obstacles à la représentation des femmes, nous effectuerons un pas essentiel vers la parité. », a déclaré Audrey Gosselin Pellerin, agente de projet de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie.</p>
<p style="text-align:center">-30-</p>
<p><strong>Montérégie : </strong></p>
<p>La <a href="http://tcgfm.qc.ca/">Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie</a> est un regroupement d’organismes sans but lucratif, fondé en 1988, qui a pour mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social. Elle travaille dans une perspective de défense de droits et d’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes.</p>
<p>Source :</p>
<p>Audrey Gosselin Pellerin</p>
<p>Agente de projet, Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM)</p>
<p>Téléphone : 450.671.5095</p>
<p>Courriel : <a href="mailto:info@tcgfm.qc.ca">info@tcgfm.qc.ca</a></p>
<p> </p>
<p><strong>Bas-Saint-Laurent</strong></p>
<p>La <a href="http://www.femmes-bsl.qc.ca/fr/index.html">Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent</a> est un réseau féministe d’action concertée qui réunit dix-neuf groupes de femmes de la région du Bas du Fleuve. Nous agissons dans plusieurs domaines qui touchent aux conditions de vie des femmes : pauvreté, violence, santé, place des femmes dans les lieux de pouvoir. Toujours, notre action est marquée au sceau de l’affirmation collective des femmes. La Table de concertation a comme grands objectifs de développer la solidarité des femmes et d’assurer la prise en compte de leurs intérêts dans la vie collective du Bas Saint-Laurent. </p>
<p>Source :</p>
<p>Catherine Berger : 418-556-3062, <a href="mailto:cbtcgfbsl@gmail.com">cbtcgfbsl@gmail.com</a></p>
<p>Annick Mercier : 418-492-1449, <a href="mailto:amtcgfbsl@gmail.com">amtcgfbsl@gmail.com</a></p>
<p>Agentes de projet, Table de concertation des groupes de femmes du Bas-Saint-Laurent (TCGFBSL)</p>
<p> </p>
<p><strong>Mauricie</strong></p>
<p>La <a href="http://www.tcmfm.ca/">Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie</a> est un regroupement régional féministe de défense collective des droits qui a pour mission de favoriser la concertation et d’agir sur les questions mettant en jeu les intérêts et les conditions de vie des femmes.</p>
<p>Source : Joanne Blais</p>
<p>Directrice, Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie (TCMFM)</p>
<p>819-372-9328 ou 819-386-2191</p>
<p><a href="mailto:info@tcmfm.ca">info@tcmfm.ca</a></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Mai', 'jour' => '03', 'annee' => '2018', 'date' => '03 Mai 2018', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array('Montérégie', 'Égalité', 'Parité'), 'cover' => '1525363283-1 2018-02-22 5 à 7 femmes en politique-53.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array('Montérégie' => '7', 'Égalité' => '10', 'Parité' => '11')), array('titre' => 'ENSEMBLE POUR L’ÉGALITÉ Journée « Égalité femmes-hommes : Nos municipalités au coeur de la solution! »', 'intro' => '<p><strong>Longueuil, 10 octobre 2017 </strong>– Le 26 septembre dernier, une soixantaine de personnes ont participé à l’événement régional « Égalité femmes-hommes : Nos municipalités au coeur de la solution! » organisé par la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM). Cette journée a su réunir des représentantEs des milieux communautaire et institutionnel de même que plusieurs éluEs municipaux montérégiens afin d’échanger sur le rôle des municipalités dans l’amélioration des conditions de vie des femmes.</p>
', 'sous_titre' => 'Une journée réussie', 'contenu' => '<p>Dans le cadre de cet événement, les participantEs ont avancé des stratégies favorisant l’intégration de l’égalité comme axe de développement au sein des instances municipales. En outre, elles et ils ont partagé les idées novatrices et les bonnes pratiques en matière d’égalité femmes-hommes élaborées au sein de leur municipalité. Les représentantEs présentEs ont même proposé plusieurs actions concrètes pouvant être mises en oeuvre par ces gouvernements de proximité. En définitive, les participantEs ont soulevé l’importance des espaces de concertation entre les groupes de femmes, les groupes communautaires, les éluEs et les administrations municipales afin d’assurer que l’égalité femmes-hommes soit au coeur des préoccupations des instances locales et régionales.</p>
<p>De l’avis de Madame Linda Crevier, directrice générale de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie et membre du panel de la journée, « l’égalité en Montérégie, ça commence par la reconnaissance de l’expertise du communautaire, un vrai partenariat avec les instances municipales et le financement des projets spécifiques pour les groupes communautaires et les groupes de femmes. »</p>
<p>Les faits saillants de même que les propositions ayant émergées lors de cette journée de réflexion seront partagées prochainement sur le site de la TCGFM. La Table invite par ailleurs toutes les organisations et toutes les personnes interpellées par ces enjeux à communiquer avec elle afin de travailler ensemble pour que l’égalité femmes-hommes devienne un objectif transversal des actions des municipalités.</p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes sans but lucratif, fondé en 1988, qui a pour mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social. Elle travaille dans une perspective de défense de droits et d’atteinte de l’égalité entre les femmes et les hommes.</p>
<p> </p>
<p>Pour toute question : info@tcgfm.qc.ca</p>
<p> </p>
<p>-30-</p>
<p> </p>
<p><strong>Pour plus d’informations, veuillez contacter :</strong><br />
Audrey Gosselin Pellerin<br />
Agente de projet, TCGFM<br />
Téléphone : 450.671.5095<br />
Courriel : a.gosselin.pellerin@tcgfm.qc.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Nov', 'jour' => '06', 'annee' => '2017', 'date' => '06 Novembre 2017', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => '1509995348-TCGFM - Journée Égalité femmes-hommes 1 (crédit Gilles Pilette).JPG', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Égalité femmes-hommes : Nos municipalités au coeur de la solution!', 'intro' => '<p>Le 26 septembre prochain, la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) organise l’événement : « Égalité femmes-hommes : Nos municipalités au cœur de la solution! ».</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Il s’agit d’une journée de conférences et d’ateliers destinée aux milieux communautaire, municipal et institutionnel dont l’objectif est de :<br />
<br />
1- Déconstruire certains mythes relativement à l’égalité-déjà-là;<br />
2- Réseauter;<br />
3- Faire émerger des pistes d’action pour replacer l’égalité comme une axe prioritaire du développement social au sein des municipalités (suite à l’abolition des CRÉ).</p>
<p> </p>
<p>Pour suivre les développements, nous vous invitons à consulter <a href="https://www.facebook.com/events/1863794440552757/">la page de l'événement sur facebook</a>.</p>
<p> </p>
<p>Pour vous inscrire, vous n'avez qu'à <a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScl9W1RPHm_GxnFqetqr6HEcRlpoR-8JnFphbuS6fTMXPu7Cw/viewform">cliquer ici</a>.</p>
<p> </p>
<p>Plus de détails relativement au programme suivront.</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Aoû', 'jour' => '23', 'annee' => '2017', 'date' => '23 Août 2017', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array(), 'cover' => '1503502646-TCGFM_affiche_header facebook.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'En route vers la parité : formation, réseautage et échanges', 'intro' => '<p>En partenariat avec la Fédération québécoise des municipalités et le Réseau des élues municipales de la Montérégie, la TCGFM organise une activité de formation et de réseautage le 26 août prochain, à l'Hôtel de ville de Sainte-Julie.</p>
<p> </p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Visant à outiller les femmes désireuses de s'impliquer en politique municipale, cet événement offre deux formations : l'une sur le leadership courageux offerte par Raymonde Lévesque et la seconde, sur l'intégration des réseaux sociaux dans le cadre d'une campagne électorale par Alexandra Millette. </p>
<p>Il est encore temps de s'inscrire, mais les places sont limitées compte tenu de la capacité de la salle. </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Aoû', 'jour' => '01', 'annee' => '2017', 'date' => '01 Août 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1501592223-20507348_1613368998674550_4206056696550768199_o.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Outils pour votre campagne électorale! ', 'intro' => '<p>Vous êtes candidate ou songez sérieusement vous présenter aux élections municipales de novembre 2017? Voici une liste d'outils et de sites à consulter qui pourraient vous venir en aide tout au long de votre campagne.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<ol>
<li><a href="http://www.reseautablesfemmes.qc.ca.heb5c.sogetel.net/wp-content/uploads/2015/01/GuideCand2017_VF-1.pdf">Le parcours de la candidate</a>, Réseau des tables régionales des groupes de femmes du Québec, 2017.</li>
<li><a href="https://www.facebook.com/umqfemmes">La page facebook du comité "Femmes et gouvernance"</a> de <a href="https://umq.qc.ca/">l'Union des municipalités du Québec</a>.</li>
<li><a href="http://www.electionsquebec.qc.ca/francais/">Site web</a> du Directeur général des élections du Québec.</li>
<li><a href="http://www.mamot.gouv.qc.ca/accueil/">Site web</a> du Ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire.</li>
<li><a href="http://www.gfpd.ca/">Les outils et les formations</a> développées par le Groupe Femmes, politique et démocratie.</li>
<li><a href="https://www.csf.gouv.qc.ca/">Les avis</a> produits par le Conseil du statut de la femme.</li>
</ol>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jul', 'jour' => '11', 'annee' => '2017', 'date' => '11 Juillet 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1499778638-Logo_TCGFM_Court (002).png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Offre d'emploi - Agente de projet', 'intro' => '<p><span style="font-size:14px">La <span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"><span style="color:black">Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie - un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social -</span></span> est à la recherche d'une personne ayant la volonté d'assumer les responsabilités inhérentes au poste d'agente de projet. Il s'agit d'un contrat d'une durée de 30 mois.</span></p>
<p> </p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p style="text-align:center"><strong>AGENTE DE PROJET </strong><br />
Plus de femmes en politique? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés!</p>
<p><br />
<br />
<strong>Fonctions et responsabilités </strong>: Sous la responsabilité de la directrice générale de la TCGFM, l’agente de projet assumera les tâches suivantes :<br />
<br />
Assurer la mise en œuvre d’actions en lien avec le projet Plus de femmes en politique? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés!. Dans le cadre de ce projet, la TCGFM travaillera avec les médias ainsi que les instances municipales, de manière à accroître la voix et l’influence des femmes dans la vie publique et le discours public au Québec.</p>
<p><br />
<strong>Le projet présente 6 activités, soient :</strong><br />
o Développement et consolidation de partenariats intersectoriels;<br />
o Étude de contexte médiatique et identification de pistes de solutions;<br />
o Mise en œuvre de solutions adaptées aux réalités ciblées dans l’étude de contexte;<br />
o Identification des obstacles majeurs à la participation des femmes à la vie politique municipale et développement d'axes prioritaires en vue d'agir;<br />
o Développement de laboratoires de pratiques afin d’intégrer les axes prioritaires ciblés;<br />
o Diffusion, promotion et appropriation des axes prioritaires identifiés et des stratégies d’intervention expérimentés;<br />
o Effectuer les relations de presse nécessaires à l’avancement des dossiers;<br />
o Toutes autres tâches connexes.</p>
<p><br />
Il est important de préciser que ce projet regroupe plusieurs partenaires. L’agente de projet travaillera en collaboration avec les agentes de projets de la Table de concertation du mouvement des femmes de la Mauricie (TCMFM) et la Table de concertation des groupes de femmes du Bas-St-Laurent (TCGFBSL).</p>
<p> <br />
<strong>Exigences et conditions de travail : </strong><br />
- Posséder une formation ainsi qu’une expérience, pertinentes;<br />
- Excellente maîtrise de la suite Microsoft Office <br />
- Bonne connaissance du Web 2.0 et les médias sociaux<br />
- Être créative et intéressée par la question de l’accès des femmes au pouvoir;<br />
- Être capable de gérer plusieurs dossiers à la fois et de gérer les priorités;<br />
- Posséder de bonnes habiletés en communications orales et écrites;<br />
- Être autonome tout en ayant de bonnes aptitudes pour le travail d’équipe;<br />
- Connaître le territoire de la Montérégie et le mouvement des femmes;<br />
- Pouvoir se déplacer sur tout le territoire de la Montérégie (accès à une voiture essentiel).</p>
<p> </p>
<p><strong>Modalités : </strong> <br />
- Entrée en poste : 5 septembre 2017.<br />
- Durée du contrat : trente (30) mois.<br />
- Horaire : 28 h/semaine<br />
- Rémunération : Selon la politique salariale en vigueur. <br />
- Lieu de travail : Longueuil </p>
<p><br />
<br />
Faire parvenir votre curriculum vitae et une lettre de motivation au plus tard le lundi 14 août 2017 à minuit à l’adresse courriel suivante : admin@tcgfm.qc.ca. Seules les candidates retenues en entrevue seront contactées. Les entrevues auront lieu le 22 août 2017.</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jul', 'jour' => '04', 'annee' => '2017', 'date' => '04 Juillet 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => null, 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'L'atteinte de la parité en politique municipale : Une représentation de la population plus fidèle à la réalité!', 'intro' => '<p><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">Longueuil, le 28 juin 2017 – Le 22 juin, une soixantaine de femmes de la Montérégie ont participé à une soirée de réseautage sous le thème de la <strong>parité et de la présence des femmes en politique municipale. </strong>Cette activité visait à démystifier la réalité des élues municipales et à encourager les femmes à briguer les suffrages aux élections municipales de cet automne.</span></span></p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">Mesdames Suzanne Roy, mairesse de St-Julie, et Esther Salomon, ancienne conseillère municipale de Châteauguay, ont apporté des témoignages inspirants sur leurs expériences en politique en nommant les préoccupations des femmes se lançant en politique et en tentant de nommer certaines pistes de solution. Selon Suzanne Roy, les Québécoises et les Québécois sont prêts à voter pour des femmes, il faudrait cependant qu’il y ait plus de femmes qui investissent le milieu politique. Esther Salomon a poursuivi en affirmant que la simple présence des femmes contribuent à « forcer le changement » dans un monde à historiquement à dominance masculine. </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">Pour Madame Linda Crevier, directrice générale de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie et aussi membre du panel de la soirée « l’atteinte de la parité sert des objectifs démocratiques clairs en offrant une représentation de la population plus fidèle à la réalité. Les femmes constituent la moitié de la population. Dans une société qui croit à l’égalité femmes-hommes, il est normal qu’elles occupent la moitié des sièges aux conseils municipaux. » </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">L’ensemble des panélistes présentes ont souligné l’importance de la participation démocratique des femmes, autant en tant qu’élues que citoyennes. Elles encouragent les femmes à profiter des activités de réseautage et de formation disponibles afin de les soutenir dans le dépôt de leur candidature aux élections municipales du 5 novembre 2017.</span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">Rappelons que la soirée a été organisée en collaboration par la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie, le Centre des femmes de Longueuil, le Réseau des élues municipales de la Montérégie et l’Union des municipalités du Québec dans le cadre de la tournée « Ça prend des femmes comme vous! ».</span><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"> </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"><span style="color:black">Pour plus d’information au sujet de la participation des femmes aux prochaines élections municipales, nous vous invitons à contacter les différents partenaires de cet évènement et de les suivre sur les réseaux sociaux.</span></span></span></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jul', 'jour' => '03', 'annee' => '2017', 'date' => '03 Juillet 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1499097025-IMG_7816.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Un nouveau conseil d’administration… dans la continuité! ', 'intro' => '<p><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"><span style="font-size:14px"><strong>Longueuil, 12 juin 2017</strong> – Lors de son assemblée générale annuelle tenue le 31 mai dernier, les membres de la Table de concertation des groupes de la Montérégie ont élu un conseil d’administration s’inscrivant dans la continuité avec l’année dernière. Mesdames Marie-Christine Plante (administratrice), Martine Laprade (administratrice) Nathaly Lecours (trésorière) et Maria Anney (présidente) poursuivent donc leur travail au sein du conseil d’administration. Quant à Marie-Josée Côté (administratrice), elle revient après une année d’absence.</span></span></p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"><span style="font-size:14px"><strong style="mso-bidi-font-weight:normal"><font color="#000000">De la nouveauté à la présidence </font></strong></span></span></p>
<p style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"><span style="font-size:14px"><font color="#000000">Les membres de la TCGFM sont reconnaissantes du travail qui a été accompli par la présidente sortante, Nadia Landry et elles la remercient chaleureusement pour son assiduité et son implication à la Table. </font></span></span></p>
<p style="margin: 0px 0px 11px; text-align: justify;"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"><span style="font-size:14px"><font color="#000000">Elles félicitent aussi l’élection de Maria Anney, travailleuse au Centre des femmes de Longueuil, au poste de présidente du conseil d’administration. Il s’agit de la première fois de l’histoire de la TCGFM qu’une afroféministe occupe ce poste. Soucieuse de se diversifier et d’incarner les valeurs intersectionnelles qu’elle met de l’avant au sein de son plan d’action, la TCGFM voit en Maria Anney un modèle positif. Pour Linda Crevier, directrice générale de la TCGFM : « Maria représente un atout certain et elle contribuera à faire rayonner la Table de par ses multiples implications dans le milieu communautaire féministe ». </font></span></span></p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '14', 'annee' => '2017', 'date' => '14 Juin 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1497471384-image1 (002).JPG', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Le projet "Plus de femmes en politique? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés!" discuté dans les médias ', 'intro' => '<p>Notre agente de projet et agente de communication, Véronique Pronovost, a donné une entrevue à Amélie Boivin-Handfield à CHOC FM 104,9 au sujet du projet "Plus de femmes en politique? Les médias et les instances municipales, des acteurs clés!". Pour écouter l'entrevue, veuillez <a href="http://chocfm.com/podcast-chocfm/entrevue-veronique-pronovost-projet-table-de-concertation-groupes-de-femmes-de-monteregie/">cliquer ici</a>. </p>
<p> </p>
<p> </p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Notre communiqué de presse a aussi été relayé par <a href="http://www.mediasud.ca/nouvelles/accroitre-la-place-des-femmes-en-politique-municipale.html">MédiaSud</a>, soit le premier portail communautaire au Québec. </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '08', 'annee' => '2017', 'date' => '08 Juin 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1499173710-Logo_TCGFM_Court (002).png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'La tournée « Ça prend des femmes comme vous! » s’arrêtera en Montérégie', 'intro' => '<p style="text-align:justify"><em>Longueuil, le 7 juin 2017 – </em>Dans le cadre de la campagne <em>Élections 2017 : ça prend des femmes comme vous!</em>, les Montérégiennes sont invitées à participer, le 22 juin prochain, à un 5@7 réseautage en présence de Madame Suzanne Roy, mairesse de Sainte-Julie et Madame Esther Salomon, conseillère municipale de Châteauguay (2009-2013).</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p style="text-align:justify">Comment améliorer le quotidien des femmes en politique? Comment concilier politique, travail et vie privée? Comment parvenir à la parité? Qu’est-ce que le mentorat peut apporter?</p>
<p style="text-align:justify">La soirée est organisée en collaboration avec la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie, le Centre des femmes de Longueuil, l’Union des municipalités du Québec et le Réseau des élues municipales de la Montérégie. L’initiative vise à encourager les femmes à briguer les suffrages aux élections du 5 novembre prochain. Les représentantes des organismes partenaires se joindront à l’événement afin de contribuer à répondre aux questions des femmes voulant se lancer en politique municipale.</p>
<p><u><span style="color:blue"><a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSe4n6XcX2F5sHX0QfH3ipTnJufn1c-NnFm1GucCBWwnjADfjw/viewform">Information et inscription</a></span></u></p>
<p>Pour toute information : info@tcgfm.qc.ca</p>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '07', 'annee' => '2017', 'date' => '07 Juin 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1496839020-22 juin 2017.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Accroître la place des femmes en politique municipale!', 'intro' => '<p><span style="font-size:14px">La Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) a entrepris un projet ambitieux visant à aplanir certains obstacles rendant la participation des femmes en politique municipale plus difficile. En partenariat avec les tables régionales de la Mauricie et du Bas St-Laurent ainsi qu’avec un groupe de médias étudiants universitaires, le projet vise à accroître la voix des femmes dans l’espace public.</span></p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">La députée de Longueuil – Charles-Lemoyne, Sherry Romanado, a confirmé un investissement total de 176 000$ de la part de Condition féminine Canada pour la réalisation du mandat de la TCGFM dans ce projet d’une durée de trois ans. </span></span></p>
<p style="text-align:justify"> </p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">« Notre gouvernement s’est engagé à promouvoir l’égalité entre les sexes en éliminant les obstacles à la pleine participation des femmes à la vie démocratique de notre pays. Je suis fière que cet investissement permettra à la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie d’entreprendre ce projet afin de renforcer le pouvoir d’action des femmes de notre région », a déclaré la députée Sherry Romanado.</span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"> </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">Au cours de la première année, la TCGFM coordonnera la réalisation d’une étude au sujet du traitement médiatique réservée aux femmes dans le cadre de la campagne électorale municipale qui aura lieu à l’automne 2017. Les résultats de cette étude seront connus au printemps 2018. « Ce qui sera intéressant avec cette étude, c’est qu’elle contiendra une section de recommandations qui seront adressées aux médias. Quelques journalistes sont déjà partenaires du projet, dont Pascale Navarro et Rima Elkouri. Au cours des prochains mois, nous souhaitons accroître le nombre de journalistes autour de la table de partenaires », précise Véronique Pronovost, chargée de projet de la TCGFM. </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"> </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">En parallèle, la TCGFM organisera aussi des focus groupes aux quatre coins de la Montérégie avec des élues, des anciennes élues, des candidates et des personnes d’intérêts afin d’identifier des stratégies réalistes favorisant l’implication et le maintien des femmes en politique municipale. </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"> </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif"><span style="color:black">Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social.</span></span></span></p>
<p style="text-align:justify"> </p>
<p> </p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">Pour plus d’information, veuillez contacter : </span></span></p>
<p style="text-align:justify"><span style="font-size:14px"><span style="font-family:arial,helvetica,sans-serif">Véronique Pronovost<br />
Agente de communications, TCGFM<br />
Téléphone : 450.671.5095<br />
Courriel : v.pronovost@tcgfm.qc.ca</span></span></p>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jun', 'jour' => '06', 'annee' => '2017', 'date' => '06 Juin 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1499174042-membres.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Le pari de la parité : Lancement d’un outil de sensibilisation', 'intro' => '<p><strong>Longueuil, 9 mars 2017</strong> – Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, le réseau Montérégiennes d’influence, un projet coordonné régionalement par la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM), a lancé un outil d’éducation populaire visant à sensibiliser la population, les groupes et les élu-es à la pertinence ainsi qu’aux raisons d’adopter la parité.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Pourquoi la parité?</p>
<p>D’abord, il existe des arguments économiques de taille. Les études tendent à démontrer que par exemple, les entreprises qui possèdent un conseil d’administration paritaire ont des rendements supérieurs. Et que lorsqu’elles font face à des crises, elles ont tendance à s’en sortir plus facilement. En effet, les études démontrent que la parité a des effets sur la diversité de la composition des équipes et c’est cette diversité au niveau des expériences, des points de vue, de la manière de penser et des réseaux de contacts qui apportent des bienfaits. Le processus de prise de décision ne se déroule pas de la même manière. En règle générale, il y aura plus de discussions et plus de questions posées avant de prendre une décision lorsque l’on a affaire à une équipe paritaire. Le choc des idées et des opinions dans le cadre de débats laissent place à l’émergence de nouvelles idées novatrices ou à de nouvelles manières de faire. La parité engendre donc l’innovation.</p>
<p>Véronique Pronovost, coordonnatrice régionale du projet, explique qu’il y a des raisons autres que financières ou économiques à atteindre la parité. « Pour nous, la parité demeure d’abord et avant tout une question d’égalité entre les femmes et les hommes. Dans ce cadre, nous croyons que l’atteinte de la parité sert des objectifs démocratiques clairs en offrant une représentation de la population plus fidèle à la réalité. Se faisant, la parité vient donc corriger une inégalité qui persiste depuis toujours. »</p>
<p> </p>
<p>Quels effets ?</p>
<p>Les effets d’une augmentation du nombre de femmes au sein des instances seraient nombreux. Parmi ceux-ci, on note la déconstruction de certains stéréotypes sexuels féminins <u>ET</u> masculins en plus d’offrir des modèles plus variés aux filles et aux femmes. À cet égard, l’exemple de la Suède est souvent mentionné. En effet, après trois mandats à la tête du gouvernement suédois (1981-1996), Gro Harlem Brundtland, la première femme à assumer le rôle de première ministre, incarnait à ce point la norme que les jeunes garçons suédois demandaient à leurs parents si les hommes pouvaient eux aussi devenir premier ministre du pays.</p>
<p>Pour visionner la vidéo, nous vous invitons à utiliser le lien suivant : <a href="https://www.youtube.com/%20watch?v=TV18S3_HeAs&t=3s">https://www.youtube.com/ watch?v=TV18S3_HeAs&t=3s</a></p>
<p> </p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social.</p>
<p> </p>
<p>Pour des renseignements additionnels, prière de contacter:</p>
<p>Véronique Pronovost<br />
Agente de communications<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
450-671-5095<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Mar', 'jour' => '09', 'annee' => '2017', 'date' => '09 Mars 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1496174954-9- Source - Extrait de la capsule vidéo, 2017 (Animatrice - Véronique Pronovost).png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Les groupes de femmes critiquent les effets de la réforme de santé', 'intro' => '<p>Longueuil, 6 février 2017 – Réunies en assemblée générale le 1er février dernier à Longueuil, une vingtaine de représentantes de groupes de femmes de la Montérégie ont longuement discuté de la réforme de la santé implantée par le Ministre de la santé et des services sociaux. Les membres de la TCGFM se rangent derrière les 78% de la population québécoise qui se disent peu ou pas satisfait-es du travail effectué par le ministre Barrette (Sondage COM - Cogeco, 26 janvier 2017). Rapidement, la TCGFM a identifié deux impacts néfastes de cette réforme : la détresse des travailleuses du réseau et la baisse de l’accessibilité des services.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Le bien-être des travailleuses du réseau de la santé<br />
L’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) a récemment rendu public les résultats d’une étude menée en Gaspésie qui révèle que 50% de leurs employé-es ont fait face à de la détresse psychologique au cours de la dernière année. Selon cette étude, les employé-es du réseau de la santé présenteraient un risque plus important de faire face à des symptômes de dépression et d’anxiété. Comme les femmes sont surreprésentées dans le réseau, les groupes de femmes de la Montérégie estiment que la réforme affecte davantage la santé des femmes à cet égard.</p>
<p>L’accessibilité des services<br />
Santé mentale, médecin de famille, … Les listes d’attente sont longues pour avoir accès à des services sur le territoire montérégien. C’est ce que nous a confirmé Diane Lamarre, député de Taillon et responsable de l’opposition en santé, qui a présenté un bref bilan de la situation aux groupes réunis. Malheureusement, les transferts d’effectif de professionnels vers les cliniques privées (GMF), la vision hospitalo-centrée de la santé et des services sociaux et la centralisation des services qui s’opère réduit l’offre de services de proximité et ajoute un poids important sur le milieu communautaire qui se retrouve souvent à pallier aux services publics manquants. </p>
<p>En conclusion, la TCGFM a noté que l’absence de mécanismes d’évaluation de la réforme rendait à toute fin pratique impossible une appréciation scientifique et neutre des mesures imposées au cours du présent mandat du gouvernement au pouvoir, ce qui a pour effet de rendre toute critique difficile à formuler.</p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social.</p>
<p><br />
Pour plus d’information, veuillez contacter :<br />
Véronique Pronovost<br />
Agente de communications, TCGFM<br />
Téléphone : 450.671.5095<br />
Courriel : v.pronovost@tcgfm.qc.ca</p>
<p> </p>
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', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Avec l'abrogation prochaine d'Obamacare, les discussions sur le retrait du financement des cliniques de la bannière Planned Parenthood (cliniques de planification familiale) et la multiplication des lois restreignant l'accès à l'avortement, la TCGFM croit que la situation dans laquelle les Américaines se trouvent est hautement préoccupante.</p>
<p>D'une part, Véronique Pronovost affirme que : "Si ces politiques s'avèrent, elles représenteront une perte importante des acquis sociaux qui ont été durement gagnés par le mouvement des femmes à travers l'histoire."</p>
<p>D'autre part, elle estime que les discours portés par le nouveau président, ayant pour effet de diviser la population et de discriminer certaines parties de la population, pourraient avoir des conséquences de notre côté de la frontière. "Les frontières n'arrêtent pas la diffusion des discours, des valeurs et des idées. Notre proximité géographique pourrait nous jouer des tours."</p>
<p>Par exemple, elle note la multiplication des groupes anti-immigration et des actes xénophobes, posés envers les femmes musulmanes, rapportés par la presse au cours des derniers mois. "À force de légitimer des discours discriminant les personnes selon leur origine ethnique, leur orientation sexuelle, leur sexe ou leur classe sociale (liste non exhaustive), on finit par normaliser la violence à l'égard de certaines tranches de la population."</p>
<p>À l'issu de cette marche, la TCGFM s'est dite encouragée par la solidarité qu'ont partagée les Nord-Américaines lors de cette journée.</p>
<p><br />
Pour plus d’information, veuillez contacter:<br />
Véronique Pronovost<br />
Agente de communications, TCGFM<br />
Téléphone : 450.671.5095<br />
Courriel : v.pronovost@tcgfm.qc.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jan', 'jour' => '23', 'annee' => '2017', 'date' => '23 Janvier 2017', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1496174471-8- cover - Une partie du contingent canadient ayant fait le voyage jusqua Washington pour levenement Credit photo Veronique Pronovost.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Les souhaits de la TCGFM pour les femmes de la Montérégie…', 'intro' => '<p>Longueuil, le 19 décembre 2016 – Pour cette période des fêtes, la TCGFM souhaite que toutes les femmes de la Montérégie aient accès à un logis décent et sécuritaire. En ces jours de réjouissance, nous souhaitons que l’ensemble des Montérégiennes soit bien entouré, ait l’estomac plein et soit au chaud.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Le 14 décembre dernier, la TCGFM a participé au lancement de la Déclaration sur l’itinérance des femmes</b> dans le but de poursuivre son engagement visant à construire une voix pour contrer l’invisibilité. Cette déclaration, qui est pilotée par la Table des groupes de femmes de Montréal, a été rédigée suite à un processus de consultation qui a été effectué auprès de plusieurs groupes de Montréal, Laval et de la Montérégie. L’itinérance des femmes, souvent cachée et invisibilisée, est une réalité à laquelle plusieurs de nos groupes de femmes sont confrontés sur une base régulière.</p>
<p>Nous invitons les groupes de la région de tous les secteurs à ajouter leur signature à la nôtre au bas de cette déclaration en visitant le site web de la Table des groupes de femmes de Montréal.</p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social. Pour plus d’informations ou pour devenir membre, n’hésitez pas à communiquer avec nous et à nous suivre sur Facebook.</p>
<p><br />
Pour des renseignements additionnels, prière de contacter:</p>
<p>Véronique Pronovost, agente de communication<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
450.671.5095<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
<p> </p>
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', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Alors que la FFQ célèbre son 50e anniversaire, sa survie est menacée en raison d’un sous-financement chronique. « La situation est urgente et découle des effets cumulés de décisions gouvernementales, à Québec comme à Ottawa, a annoncé d’entrée de jeu la présidente de la FFQ, Mélanie Sarazin. À la fin des années 2000, le gouvernement Harper a coupé les fonds destinés aux organismes de femmes et à ceux en défense des droits, tout en soumettant les projets à des conditions que la FFQ ne pouvait pas remplir sans détourner sa mission. Pour la FFQ, c’était la fin d’un financement d’environ 250 000 $ par an venant du programme Promotion de la femme (PPF) du Condition féminine Canada. Une perte de cette envergure ne se comble pas par les programmes actuellement disponibles, d’autant plus que, du côté de Québec, la FFQ ne reçoit que 75 000 $ du Secrétariat à l’action communautaire autonome et aux initiatives sociales (SACAIS) pour son fonctionnement. »</p>
<p>Pour la directrice générale de la TCGFM, Linda Crevier : « La crise que traverse la FFQ est symptomatique du sort réservé aux organismes de défense de droit au Québec. La TCGFM tombe aussi sous cette catégorie et partage le désarroi de la FFQ vis-à-vis du faible financement reçu et de l’absence d’indexation des enveloppes versées depuis près d’une décennie maintenant. Les groupes de défense de droits meurent de faim et ferment les uns après les autres dans le plus grand silence. On ne voit pas tout le travail qui est fait au sein de ces organisations. Ce n’est qu’une fois qu’elles seront disparues que l’on constatera réellement les dommages. »</p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social. Pour plus d’informations ou pour devenir membre, n’hésitez pas à communiquer avec nous et à nous suivre sur Facebook.</p>
<p><br />
Pour des renseignements additionnels, prière de contacter:</p>
<p>Véronique Pronovost, agente de communication<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
450.671.5095<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Déc', 'jour' => '05', 'annee' => '2016', 'date' => '05 Décembre 2016', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1496174270-0- default.png', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'Les groupes de femmes de la Montérégie lancent une initiative pour mettre fin à la violence faite aux femmes', 'intro' => '<p>Longueuil, 25 novembre 2016 - Le mercredi 23 novembre dernier, les membres de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie se sont rencontrés à Sainte-Catherine afin d’échanger au sujet de la condition féminine dans la région. Malgré la complexité de l’état de situation, la violence dominait les débats puisqu’elle s’inscrivait dans le contexte des activités des 12 jours d’action pour l’élimination des violences exercées envers les femmes. Cette initiative se déroule du 25 novembre au 6 décembre : les féministes afficheront fièrement les rubans et les foulards blancs afin de signifier leur espoir de mettre fin à la violence faite aux femmes.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Lutter contre les violences faites aux femmes, toujours pertinentes ?<br />
La perpétuation des violences envers les femmes représente encore aujourd’hui l’un des principaux enjeux et obstacles pour l’émancipation des femmes. Les témoignages de nos groupes membres et des autres organisations offrant des services de première ligne aux femmes subissant divers types de violences (CALACS, maisons d’hébergement, centres de femmes, normes du travail, etc.) laissent peu de place à l’interprétation. Qu’elles soient vécues dans la sphère privée (famille, couple, amis) ou dans la sphère publique (travail, études), les violences sont de plus en plus banalisées par la culture dominante et les femmes qui les subissent sont souvent isolées.</p>
<p>La violence de genre en chiffres :</p>
<p>• En 2012, au Québec, sur 572 séquestrations, 556 étaient commises envers des femmes ;<br />
• 1 femme sur 3 sera victime d’une agression à caractère sexuel au cours de sa vie et près de 90% de ces agressions ne seront jamais déclarées à la police</a> ;<br />
• Plus de 25 000 appels</a> – au Québec uniquement – sont effectués à l’organisme SOS violence conjugale chaque année ;<br />
• 1 500 femmes ont été assassinées par leur conjoint ou leur ex-conjoint au Canada » ;<br />
• Au Canada, près de 1 200 femmes autochtones sont disparues ou ont été assassinées</a> au cours des 20 dernières années.</p>
<p>12 jours d’action pour réfléchir et agir!<br />
La TCGFM vous invite à vous joindre à elle durant ces 12 jours d’action afin de multiplier le nombre de femmes qui se rassemblent pour unir leurs voix dans un message de paix et de respect.</p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social. Pour plus d’informations ou pour devenir membre, n’hésitez pas à communiquer avec nous et à nous suivre sur Facebook.</p>
<p><br />
Pour des renseignements additionnels, prière de contacter:</p>
<p>Véronique Pronovost<br />
Agente de communication<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
450.671.5095<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Nov', 'jour' => '25', 'annee' => '2016', 'date' => '25 Novembre 2016', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1496174183-5- img.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'La création d’un nouveau comité régional sur la condition féminine : L’abolition des Conférences régionales des élus et la perte de l’expertise des trois comités en « égalité » ', 'intro' => '<p>Longueuil, 31 octobre 2016 - Mercredi le 28 septembre dernier avait lieu une rencontre régionale de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie (TCGFM) à laquelle 20 représentantes de 16 groupes de femmes issus des quatre coins de la Montérégie ont pris part. Cette rencontre trimestrielle a notamment permis de décider de former un comité régional sur la condition féminine. Ce nouveau comité, qui sera composé de groupes de femmes et des représentant-e-s du milieu communautaire, aura pour principal objectif de sensibiliser les élu-e-s afin que l’égalité entre les femmes et les hommes demeure une priorité dans la région. Il permettra aussi de veiller à ce qu’une enveloppe en égalité soit maintenue en Montérégie et que les particularités propres à la région soient prises en compte.</p>
<p> </p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Plusieurs mois après la fermeture des Conférences régionales des élus (CRÉ), l’incertitude se fait sentir en ce qui a trait au financement régional des projets en matière d’égalité. L’enveloppe budgétaire qui était autrefois administrée par les CRÉ sera relayée à une autre instance qui demeure pour l’instant inconnue. Pour les groupes de femmes, il est certain que cette nouvelle instance aura nécessairement besoin de soutien et d’encadrement puisque les CRÉ étaient les seules organisations possédant une expertise en condition féminine à l’échelle régionale.</p>
<p>Ce qui inquiète les groupes de femmes, c’est cette perte d’expertise engendrée par la fermeture des CRÉ et l’abolition des trois comités en égalité ayant développé une connaissance accrue des réalités terrain et des dossiers en cours au fil des années. Ces disparitions grugent la mobilisation des acteurs et actrices régionaux qui ont permis des avancées importantes sur la question de la condition féminine. Pour Linda Crevier, directrice de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie : « Tout le travail d’éducation qui avait été accompli au cours de la dernière décennie auprès des décideurs des CRÉ sera complètement à refaire auprès des nouvelles instances. » JC Chayer, coordonnatrice du Centre de femmes l’Essentielle de Beloeil abonde dans le même sens : « On recule de 10-20 ans au moins. On devra à nouveau convaincre les élu-e-s de la pertinence de l’égalité et du fait qu’il s’agit d’une priorité dans la région! »</p>
<p><b>La TCGFM</b><br />
Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social. Pour plus d’informations ou pour devenir membre, n’hésitez pas à communiquer avec nous et à nous suivre sur Facebook.</p>
<p><br />
Pour des renseignements additionnels, prière de contacter:<br />
Véronique Pronovost<br />
Chargée de projet<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
514 792-8150<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
<p> </p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Oct', 'jour' => '31', 'annee' => '2016', 'date' => '31 Octobre 2016', 'category' => null, 'tags' => array(), 'cover' => '1496174013-4- Crédit photo Véronique Pronovost TCGFM.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => null, 'tag_ids' => array()), array('titre' => 'La campagne des 12 jours d’action pour l’élimination des violences envers les femmes', 'intro' => '<p>Depuis 1991, le <a href="http://www.cwgl.rutgers.edu/">Centre pour le leadership mondial des femmes</a> coordonne la campagne des <a href="http://16dayscwgl.rutgers.edu/">16 jours d’activisme contre la violence de genre</a> qui se déroule chaque année du 25 novembre au 10 décembre. Cette année, « <a href="http://16dayscwgl.rutgers.edu/">5478 organisations, les décideurs, les gouvernements, les agences des Nations Unies et d’innombrables personnes de plus de 180 pays à travers le monde</a> » prendront part à cette 24<sup>e</sup> édition dont la thématique s’articule autour de la prévention des conséquences des conflits armés et de l’accès à l’éducation.</p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p><strong>La petite histoire : l’origine des campagnes contre la violence de genre</strong></p>
<p><img alt="http://monteregiennesdinfluence.com/wp-content/uploads/2015/11/1.jpg" src="http://monteregiennesdinfluence.com/wp-content/uploads/2015/11/1.jpg" style="float:left; height:121px; margin-left:10px; margin-right:10px; width:276px" />Rappelons que les dates de la campagne ne sont pas le fruit du hasard et ont une valeur hautement symbolique. En effet, depuis 1981 — d’abord grâce à certaines féministes latino-américaines, puis reconnue par l’ONU en 1999 — le 25 novembre est la Journée internationale consacrée à l’élimination de la violence à l’égard des femmes. À l’origine, « <a href="http://12joursactioncontrelaviolence.ca/?page_id=589">cette date commémore l’assas</a><a href="http://12joursactioncontrelaviolence.ca/?page_id=589">sinat des sœurs Mirabal, trois militantes politiques dominicaines brutalement exécutées en 1960 sous les ordres du chef d’État Rafael Trujillo </a>». Le 10 décembre marque quant à lui la Journée internationale des droits de la personne.</p>
<p> </p>
<p><strong>Qu’en est-il de la campagne québécoise? </strong></p>
<p>La campagne québécoise de lutte et de prévention contre les violences perpétrées contre les femmes s’inscrit à l’intérieur de la campagne internationale. À la différence de cette dernière, la campagne québécoise dure 12 jours et se déroule du 25 novembre au 6 décembre de chaque année. Cette différence nationale s’explique par le contexte particulier entourant <a href="http://www.editions-rm.ca/livre.php?id=1253">la tuerie sexiste et antiféministe ayant eu lieu à l’École Polytechnique le 6 décembre 1989</a>. En 1991, le Parlement du Canada a fait du 6 décembre la <a href="http://www.swc-cfc.gc.ca/commemoration/vaw-vff/remembrance-commemoration-fr.html">Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes</a>. Il s’agit d’un événement politique ayant fortement marqué la société québécoise et qui a rendu visible l’existence d’une forme de violence que l’on osait à peine s’avouer collectivement jusqu’alors.</p>
<p> </p>
<p><strong>Lutter contre les violences faites aux femmes, toujours pertinent ? </strong></p>
<p>Ailleurs dans le monde, la lutte contre les violences de genre n’est nullement remise en question. Des <a href="http://www.humanite.fr/inde-deux-soeurs-condamnees-un-viol-collectif-582560">viols collectifs en Inde</a>, aux <a href="http://www.idrc.ca/FR/Resources/Publications/Pages/ArticleDetails.aspx?PublicationID=790">mutilations sexuelles féminines au Sénégal et au Mali</a>, en passant par les <a href="https://www.hrw.org/fr/news/2015/04/15/irak-des-ex-captives-de-letat-islamique-decrivent-une-politique-de-viols">agressions innommables perpétrées par l’État islamique envers les femmes</a>, le Québec semble faire bonne figure. Après tout, les conditions de vie des femmes ce sont bel et bien améliorées depuis quelques décennies. Mais à quel point? Devrions-nous ranger les pancartes, cesser les revendications et nous réjouir?</p>
<p>Malheureusement, ce n’est pas parce que les violences sont moins visibles qu’elles sont disparues. Au Québec, les violences envers les femmes sont encore bien présentes. Les rapports d’activités des organisations offrant des services de première ligne aux femmes subissant divers types de violences ou recueillant leurs plaintes (CALACS, maisons d’hébergement, centres de femmes, normes du travail, etc.) laissent peu de place à l’interprétation. Au cours de la dernière année, dans le cadre de la Marche mondiale des femmes, les groupes de femmes de la Montérégie ont évalué que la perpétuation des violences envers les femmes représentaient encore aujourd’hui l’un des principaux enjeux et obstacles pour l’émancipation des femmes. Qu’elles soient vécues dans la sphère privée (famille, couple, amis) ou dans la sphère publique (travail, études), les violences sont de plus en plus banalisées par la culture dominante et les femmes qui les subissent sont souvent isolées.</p>
<p> </p>
<p>La violence de genre en chiffres :</p>
<ul>
<li>« <a href="http://www.editions-rm.ca/livre.php?id=1744">En 2012, au Québec, sur 572 séquestrations, 556 étaient commises envers des femmes </a>» (p.102) ;</li>
<li><a href="http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/prob_sociaux/agression_sexuelle/index.php?des-chiffres-qui-parlent">1 femme sur 3 sera victime d’une agression à caractère sexuel au cours de sa vie et près de 90% de ces agressions ne seront jamais déclarées à la police</a> ;</li>
<li>Plus de <a href="http://www.sosviolenceconjugale.ca/">25 000 appels</a> – au Québec uniquement – sont effectués à l’organisme SOS violence conjugale chaque année ;</li>
<li>« <a href="http://www.editions-rm.ca/livre.php?id=1744">1 500 femmes ont été assassinées par leur conjoint ou leur ex-conjoint au Canada</a> » (p. 103) ;</li>
<li>Au Canada, <a href="http://faq-qnw.org/sites/default/files/press/pdf/communique-pressrelease_mmiw_fada_april2014_pdf.pdf">près de 1 200 femmes autochtones sont disparues ou ont été assassinées</a> au cours des 20 dernières années.</li>
</ul>
<p> </p>
<p>(Billet publié originalement le 19 novembre 2015 sur le blogue de <a href="http://monteregiennesdinfluence.com/la-campagne-des-12-jours-daction-pour-lelimination-des-violences-envers-les-femmes/">Montérégiennes d'influence</a>)</p>
', 'created_at' => object(Carbon), 'updated_at' => object(Carbon), 'mois' => 'Jul', 'jour' => '20', 'annee' => '2016', 'date' => '20 Juillet 2016', 'category' => 'Communiqué de presse', 'tags' => array('Violence', 'National', 'Provincial'), 'cover' => '1469023675-3-580x400.jpg', 'sub' => object(Collection), 'category_id' => '5', 'tag_ids' => array('Violence' => '1', 'National' => '8', 'Provincial' => '9')), array('titre' => 'La TCGFM vous présente son nouveau conseil d’administration ', 'intro' => '<p>Longueuil, le 2 juin 2016 – Le 1er juin dernier avait lieu l’assemblée générale annuelle de la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie. Les groupes membres de toutes les trois sous-régions de la Montérégie ont assisté à l’évènement qui avait lieu à Place à l’emploi à Longueuil. Lors de cette assemblée, les membres ont adopté les états financiers en date du 31 mars 2016, le rapport annuel d’activités 2015-2016, le plan d’action 2016-2019 et ont reçu les prévisions budgétaires pour l’année 2016-2017. </p>
', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Suite aux élections des administratrices, la TCGFM est fière de vous présenter son nouveau conseil d’administration :</p>
<p> <br />
<strong>Nadia Landry, présidente </strong>- Hébergement Maison de la Paix, volet La Chaumière<br />
<strong>Nathaly Lecours, trésorière</strong><strong> </strong>- Syndicat de la fonction publique du Québec<br />
<strong>Marie-Christine Plante, secrétaire</strong><strong> </strong>- Carrefour pour Elle<br />
<strong>Martine Laprade, administratrice</strong><strong> </strong>- Inform’elle<br />
<strong>Marie-Chantal Paquette, administratrice</strong><strong> </strong>- Entre Ailes Ste-Julie<br />
<br />
La TCGFM remercie chaleureusement les administratrices sortantes pour leur contribution au développement de la TCGFM au cours de leur mandat, soit Marie-Josée Côté (Place Rive Sud – Options sans limite), Hélène de Montigny (Inform’elle) et Jacynthe Dubien (Centre D’Main de femmes).</p>
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<p>Source : Véronique Pronovost <br />
Cellulaire : 514-792-8150 <br />
Courriel : v.pronovost@tcgfm.qc.ca</p>
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', 'sous_titre' => '', 'contenu' => '<p>Le Forum des idées pour le Québec<br />
Le Forum des idées se veut un endroit non partisan où débattre de points de vue issus de tous les horizons politiques. Si les panélistes invité-e-s présentaient effectivement des propositions de politiques sociales tantôt plus progressistes tantôt plus conservatrices, force a été de constater que l’auditoire elle, était essentiellement d’allégeance libérale. Cela a représenté une limite importante à l’objectif du Forum qui était de regrouper des personnes issues de milieux différents et ayant diverses perspectives politiques afin de faire émaner une myriade de possibilités et de solutions novatrices aux enjeux des inégalités, de la pauvreté et de l’exclusion sociale.</p>
<p>L’enjeu de l’égalité femme/homme<br />
Une conférence portant sur l’enjeu des inégalités de genre a eu lieu lors de la dernière journée du Forum. Plutôt que d’expliquer en quoi l’égalité entre les femmes et les hommes est une question d’équité, de justice et de démocratie, la conférencière de la firme McKinsey & Company a plutôt décrit en quoi l’atteinte de l’égalité salariale serait profitable économiquement pour la société. Le fait d’ancrer l’enjeu de l’égalité dans une logique de performance économique pose au moins deux problèmes.<br />
D’une part, réduire les enjeux de genre à la question de l’égalité salariale est fort simpliste. L’égalité salariale est certes toujours un enjeu puisque malgré les lois adoptées, plusieurs mécanismes de contournement de ces lois existent. Cependant, dans un Forum sur les idées, qui se veut novateur et tourné vers l’avenir, on se serait attendu à ce que le choix du thème soit un plus d’actualité. Ou à tout le moins à ce que la conférence explique pourquoi, malgré les lois en place, l’égalité salariale n’est toujours pas une réalité pour bien des femmes au Québec en 2016.<br />
D’autre part, cela envoie comme message que l’égalité à elle seule n’est pas une cause suffisante. Elle doit être rentable pour qu’on s’y attarde. Qu’est-ce que cela veut dire pour les autres types d’enjeux de genre comme la lutte contre les violences envers les femmes qui ne généreront jamais de profit et qui au contraire coûte des millions de dollars annuellement à l’État? L’égalité des femmes ne doit pas être quelque chose que l’on négocie. La correction d’une inégalité historique et systémique devrait suffire comme contrepartie.</p>
<p>Le féminisme de Philippe Couillard<br />
Depuis quelques mois, une nouvelle tendance a émergé : les dirigeants de l’Amérique du Nord se proclament fièrement féministes. Après Justin Trudeau et Barack Obama, Philippe Couillard a choisi le Forum des idées pour affirmer son féminisme devant les médias. Une affirmation qui surprend - pour le moins - compte tenu du bilan de son gouvernement et des effets de certaines de ses politiques économiques et sociales. En effet, plusieurs recherches et essais publiés au cours des dernières années (Aurélie Lanctôt; IRIS; L’R des centres de femmes) démontrent les impacts néfastes des politiques d’austérité du gouvernement Couillard sur les femmes du Québec. <br />
Dans ces conditions, il est difficile de considérer Philippe Couillard comme féministe. Pour être un allié, encore faudrait-il que le Premier ministre commence par accepter d’entendre les critiques qui lui sont adressées par les féministes et qu’il soit à l’écoute des demandes formulées par les groupes de femmes du Québec.</p>
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Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social.</p>
<p>Pour des renseignements additionnels, prière de contacter:<br />
Véronique Pronovost<br />
Chargée de projet<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
514 792-8150<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
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', 'sous_titre' => 'Les sources de l'inquiétude', 'contenu' => '<p>D'abord, la TCGFM est fortement préoccupée par le démantèlement du réseau de santé public qui s'opère actuellement. Ce transfert de ressources humaines ne représente qu'une des composantes de la réforme de la santé beaucoup plus large menée par le Ministère de la santé et des services sociaux de Gaétan Barrette. Nous sommes inquiètes de la réduction des services offerts dans le réseau public au profit du développement d'un réseau de cliniques privées.</p>
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<p>De plus, la TCGFM est préoccupée par ce transfert puisqu'il représente une diminution importante et imminente du nombre de travailleuses sociales et de travailleurs sociaux œuvrant au sein des CLSC. Bien que l'administration du CISSS de la Montérégie-Est ait affirmé sa volonté de ne pas réduire les services offerts à la population, force est de constater que le plan de transfert semble loin d'être ficelé et que plusieurs variables demeurent inconnues. Parmi celles-ci, on dit toujours ignorer le nombre exact de travailleuses et de travailleurs qui seront touchés par ce transfert.</p>
<p>L'administration du CISSS de la Montérégie-Est mise sur la loi 20 qui prévoit l'attribution d'un médecin de famille à chaque citoyenne et citoyen en prévoyant une diminution de la demande de service au sein des CLSC au profit des GMF. Nous nous posons des questions à propos de cette stratégie ministérielle puisqu'il y a plus d'une décennie que le Québec promet l'attribution d'un médecin de famille à l'ensemble de la population sans y parvenir.</p>
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<p>Aussi, dans le contexte actuel et considérant l'existence de listes d'attente de plusieurs mois avant d'avoir accès à une ressource en santé mentale au sein de nos CLSC, la TCGFM demeure inquiète à propos de ce transfert. En effet, le Conseil d'administration du CISSS de la Montérégie-Est a confirmé qu'il manquait 65% des ressources (humaines) pour répondre au plan gouvernemental en termes de santé mentale. Fonctionnant déjà en sous-effectif chronique, nous ne pouvons qu'être préoccupées pour la suite des choses.</p>
<p>Par ailleurs, dans le contexte où les demandes de consultation en santé mentale ont explosé en Montérégie au cours des dernières années, nous sommes inquiètes des impacts que va avoir l'application de cette mesure de transfert de personnel sur la santé de nos concitoyennes et concitoyens.</p>
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<p>Finalement, nous avons constaté un accroissement du nombre de femmes ayant des problématiques de santé mentale fréquentant les groupes et les centres de femmes que la TCGFM représente. Malheureusement, ces organisations n'ont ni les ressources ni l'expertise pour répondre à cette demande qui ajoute de la pression sur des organismes déjà surchargés. La réponse à ce transfert ne doit pas se trouver dans le milieu communautaire. La santé est une compétence et une responsabilité provinciale centrale et elle doit le demeurer.</p>
<p>Rappelons que la Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie est un regroupement d’organismes à but non lucratif, fondé en 1988, qui a pour principale mission l’amélioration des conditions de vie des femmes de notre région sur les plans économique, politique et social.</p>
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<p>Pour des renseignements additionnels, prière de contacter:</p>
<p>Véronique Pronovost<br />
Agente de communications<br />
Table de concertation des groupes de femmes de la Montérégie<br />
info@tcgfm.qc.ca</p>
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- at Kernel->handle(object(Request)) in index.php line 54